De retour un an après. A partir de ce soir, à 21h05, France 2 lancera la saison 2 inédite de la série policière canadienne "Motive : Le mobile du crime" diffusée en 2014 dans son pays d'origine. Le concept rappelle celui de "Columbo", à savoir que le téléspectateur connaît dès les premières minutes de l'épisode l'identité du tueur et suit donc le cheminement des enquêteurs. Trois inédits seront diffusés à la suite pour cette saison qui se compose une nouvelle fois de 13 épisodes. A noter que "Motive", à laquelle le réseau canadien CTV a mis fin en 2016, compte au total quatre saisons.
Angie Flynn (Kristin Lehman) et Oscar Vega (Louis Ferreira) font équipe au département des homicides de la police de Vancouver. Mère célibataire, Angie est une flic au fort caractère, à l'écoute de son instinct et rebelle à l'autorité. Plus posé et plus réfléchi, Oscar reste très discret sur son passé. Le détective Brian Lucas (Brendan Penny) et le Dr Betty Rogers (Lauren Holly), médecin légiste, figurent à leurs côtés.
Pour cette nouvelle saison, ils seront rejoints par l'ambitieuse et enthousiaste Wendy Sung (Valérie Tian), qui va bousculer les relations établies, tandis qu'un nouveau chef d'équipe, Mark Cross (Warren Christie) très pragmatique, va amener Angie à revoir sa façon de travailler, et malgré elle, à faire face à un secret du passé.
Un meurtre déguisé en suicide
La première enquête de la soirée, baptisée "Mauvais karma", s'ouvrira par la découverte d'un trentenaire dans une baignoire. Kevin Carpenter, venait de rentrer aux Etats-Unis après avoir passé deux années à voyager en Inde et en Asie du Sud-Est. Tout laisse à penser qu'il s'est volontairement donné la mort : ses veines tailladées témoignent d'une automutilation. L'homme a également laissé une lettre d'adieu, mais la légiste relève des indices laissant présager d'un meurtre.
Côté audiences, le 6 août 2018, le lancement de la saison 1 de "Motive : Le mobile du crime" avait convaincu 2,45 millions de curieux en moyenne et en audience veille pour les deux premiers inédits, soit 13,8% du public de quatre ans et plus selon Médiamétrie.
