Les photos topless de Kate Middleton publiées en septembre dernier dans l'édition française de Closer n'ont pas fini de faire parler. Le magazine avait choqué l'Angleterre et la famille royale suite à la publication de ces clichés. A tel point que la rédaction a été contrainte de restituer les photographies à l'entourage de Kate Middleton et du Prince William avant de se voir interdite de republier les photos incriminées sur quelque support que ce soit.
Cette fois, c'est pour une toute autre raison que les clichés de la Princesse sont évoqués. En effet, Laurence Pieau, directrice de la rédaction de Closer, a été choisie par le magazine britannique The Observer comme l'une des douze "figures de l'année" aux côtés de Sam Mendes (réalisateur de "Skyfall"), Karin Ward (à l'origine des révélations sur le scandale de pédophilie autour de Jimmy Savile) ou encore E.L. James, l'auteure du roman phénomène "Cinquante Nuances de Grey".
"Nous savions que ces photos feraient parler. Mais nous avons été surpris par la rapidité et le côté très disproportionné de certaines réactions. Si j'ai sous-estimé quelque chose dans cette histoire, c'est l'attachement des Anglais à Kate Middleton qui n'a rien à voir avec celui des Français. Depuis son mariage avec le prince William, elle est devenue une véritable icône (...) Ces clichés ne faisaient que montrer un jeune couple heureux et amoureux" explique Laurence Pieau dans les colonnes du magazine.
"Le débat aurait plutôt dû être centré sur la sécurité du couple princier et sur le fait qu'un anonyme se soit approché aussi près de Kate et William" confie celle qui a été menacée de mort à la suite de la publication de ces clichés. Laurence Pieau s'en prend également aux tabloïds britanniques, "Une presse qui est allée jusqu'à publier des enregistrements de conversations privées de feue la princesse Diana". "Je dois décrocher des exclus. J'ai décroché une exclu. J'ai juste fait mon job de journaliste" conclut-elle.