Facebook est devenu un outil de communication pour les célébrités. Michel Polnareff l'a bien compris et utilise beaucoup le réseau social créé par Mark Zuckerberg pour s'adresser à ses fans. C'est par ce biais qu'il avait notamment annoncé ne pas être le père de l'enfant de son ex-compagne, Danyellah, ou encore qu'il a soulevé l'hypothèse d'un complot autour du tsunami japonais de mars 2011.
Mais certains de ses admirateurs trouvent que malgré cette communication, l'interprète de "Lettre à France" les oublie trop et ne daigne pas répondre personnellement à tous. Ceux-ci n'hésitent pas à le manifester sur la dite page Facebook. Mais trop c'est trop pour Michel Polnareff, qui n'a pas hésité à le faire savoir ce week-end sur le réseau social. Et l'artiste n'a pas mâché ses mots.
"Pour ceux qui me prennent pour une standardiste, j'aimerais que vous soyez conscients que je reçois des milliers de messages par jour et je pense exprimer ma présence plutôt bien" a-t-il débuté dans la nuit de samedi à dimanche. "Je commence à envisager de fermer le tout, comme je l'ai fait précédemment avec le polnaweb" lance-t-il, menaçant de se limiter au strict minimum comme avec son site officiel.
"Les mêmes problèmes commencent à se pointer. Vous n'êtes pas heureux avec ma communication ? Parlez à vos élus avec lesquels vous n'en avez aucune" peste Michel Polnareff dans ce message, où il tacle les personnes qui le critiquent. "En ce qui concerne ceux qui viennent ici parce qu'ils ne m'aiment pas, ou ne sont pas d'accord avec ce que je dis ici sous des prétextes futiles voire même hypocrites, la salle des machines sait qui se cache sous vos pseudos" a écrit l'interprète de "Goodbye Marylou".
Et pour clôturer un message qui sonne comme un règlement de comptes, Michel Polnareff a lâché, en lettres capitales, "ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE" à destination de ses admirateurs. Un coup de colère incompris par la plupart des fans de l'artiste, d'autant plus que celui-ci a finalement décidé de fermer sa page Facebook quelques heures après avoir posté ce message...