Les professionnels sont les bienvenus dans "The Voice". En France, la première saison a accueilli plusieurs personnalités déjà connues du public comme Sonia Lacen, Dominique Magloire ou Vigon. D'autres candidats, eux, venaient d'émissions de télé-réalité. Ainsi, Maureen Angot, candidate de la "Star Academy" 7 sur TF1, avait intégré l'équipe de Jenifer et était allée jusqu'aux lives, avant d'être éliminée face à Sonia Lacen, Amalya, Thomas Mignot et Al. Hy.
La saison 2 du télé-crochet de la Une, qui arrivera le 2 février à l'antenne, accueillera aussi d'autres participants de télé-réalités. Ainsi, Claire L., révélée par le groupe L5 formé par l'émission "Popstars" sur M6 en 2001, a essayé de séduire les quatre coachs tout comme Alexandre Chassagnac, demi-finaliste d'"Incroyable Talent" sur M6 en 2008, ou encore Ludivine Aubourg, participante de... la première saison de "The Voice" ! Mais cette fois, c'est dans la version québecoise de l'émission que l'on a retrouvé une ancienne figure de la télé-réalité française...
En effet, hier soir, la chaîne canadienne TVA lançait son adaptation de "The Voice", baptisée "La Voix". Et parmi les talents qui se sont présentés devant les quatre coachs : Alex Balduzzi. Candidat malheureux de la saison 2 de "Star Academy" sur TF1 en 2002, il avait malgré tout pu participer à la tournée des candidats. Populaire dans l'émission grâce à son idylle avec Aurélie Konaté, Alex a sorti un titre, "Tout le monde me dit", qui n'a pas dépassé la 39e place des meilleures ventes de singles.
Et pour tenter de devenir le prochain grand talent du Québec, Alex Balduzzi a décidé d'entonner un monument de la chanson française : "Amsterdam" de Jacques Brel. Malheureusement pour lui, aucun des quatres coachs, qu'il s'agisse d'Ariane Moffatt, de Jean-Pierre Ferland, de Marc Dupré ou de Marie-Mai, ne s'est retourné sur son passage, malgré des impressions globalement positives. "J'ai chambranlé. C'est une chanson monument. Je n'ai jamais senti que tu étais à côté de la plaque" a expliqué Ariane Moffatt tandis que Marc Dupré "n'a pas senti qu'(il) pouvait amener quelque chose" par le coaching. "J'ai aimé ce que tu faisais mais..." a juste déclaré Jean-Pierre Ferland, vite suivi par Marie-Mai qui s'adresse à son camarade coach : "Non non, dis-le que c'est parce que ce n'est pas une femme !"...