La grand-mere et la mere de Kikuji dirigent de facon tyrannique une maison de chaussures traditionnelles, les "tabis". Elles obligent Kikuji a repudier sa femme et l'empechent de se remarier. Lorsqu'un jour de 1945, le magasin est detruit par un bombardement, la grand-mere se suicide. Kikuji decide de reconstruire le batiment.