Cyril Hanouna a une nouvelle fois, hier, envahi le plateau d'i-TELE avec son équipe de "Touche pas à mon poste" et Jamel Debbouze, invité de l'émission. Les deux studios sont côte à côté à Boulogne, ce qui rend toute intrusion sur le plateau voisin très facile. Avec trompette et maillot de l'équipe de France, l'animateur de D8, survolté, a mis le souk chez son confrère, ce qu'il n'a pas franchement apprécié. "Soyez sérieux, nous sommes entre gens sérieux pour parler football et nous ne sommes pas dans une émission de divertissement", lance Pascal Praud, espérant repousser les perturbateurs hors du plateau.
"Non non non non !"
Peine perdue, Hanouna, Debbouze et Michaël Youn s'invitent sur la chaîne d'informations du groupe Canal+ sans écouter les consignes. "S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît ! Non, non, non, non ! S'il vous plaît, s'il vous plaît !, tente de se faire entendre Pascal Praud. Vous êtes à i-TELE, vous n'êtes pas chez vous. Quand on vient chez les gens, on est gentil ! Asseyez-vous Cyril !". L'animateur de D8, incontrôlable, n'écoute rien et sautille sur le plateau : "Allez les Bleus, allez les Bleus !".
"Soyez sympas, dites nous ce que vous pensez du match de ce soir, nous sommes dans une émission", tente Pascal Praud. Cyril Hanouna fait alors un pronostic pour la rencontre d'hier soir : 3-0 pour la France. Raté, les Bleus ayant concédé un match nul face à l'Equateur. Le journaliste d'i-TELE tente alors de recueillir les impressions de Jamel Debbouze qui n'a visiblement pas envie de répondre à ses questions. La séquence dure près de 5 minutes, une éternité !
Ce n'est pas la première fois que Cyril Hanouna envahit le plateau d'i-TELE en direct. En début d'année, il avait perturbé le direct de "Tirs croisés", présenté par Laurence Ferrari. Ce qui avait permis à la chaîne d'informations d'enregistrer un pic d'audience ! Hier encore, l'audience s'est envolée, passant de 78.000 téléspectateurs à... 823.000 ! Si vous avez raté ce moment, puremedias.com vous propose de le voir.
