"Demain nous appartient" prend ses aises dans la grille de TF1. Le 17 juillet dernier, les téléspectateurs de la Une faisaient connaissance avec les personnages incarnés par Ingrid Chauvin, Lorie Pester, Samy Gharbi ou encore Alexandre Brasseur. Quatre mois et demi plus tard, les aventures de ces derniers continuent de truster l'antenne de la première chaîne en access. Ce soir, à 19h20, la série quotidienne produite par Telfrance célébrera ainsi son centième épisode.
Une longévité remarquable alors que la série avait été initialement présentée comme une saga estivale. Prolongée dans sa case à la rentrée en vertu d'audiences jugées satisfaisantes par la direction de TF1, désireuse d'installer sa série sur le long terme, "Demain nous appartient" est désormais assurée de rester en grille au moins jusqu'au mois de mars prochain. La Une vient en effet de commander 60 épisodes supplémentaires à Newen, maison-mère de Telfrance et filiale du groupe TF1.
Côté audiences, si la Une semble avoir durablement cédé le leadership sur l'ensemble du public à "N'oubliez pas les paroles", le bilan après ces quatre-vingt-dix-neuf premiers épisodes est encourageant. Depuis la rentrée - à date du 4 septembre -, "Demain nous appartient" fédère chaque soir une moyenne, en audience veille, de près de 3 millions de personnes, selon Médiamétrie, soit 15,5% du public de quatre ans et plus. Une performance supérieure aux scores réalisés par "Bienvenue à l'hôtel", diffusé dans la case à la même période l'an passé.
Mais la grande force de "Demain nous appartient" réside dans le noyau dur de fidèles qui consomme la série en différé. À J+7, chaque épisode de "DNA" gagne en moyenne 500.000 téléspectateurs supplémentaires. La série est actuellement le seul programme quotidien à afficher un tel niveau de consommation en différé. Mieux encore, en considérant le consolidé, la série permet à TF1 de retrouver un large leadership sur le public féminin avec une part d'audience moyenne de près de 22% sur les FRDA-50, cible prisée des annonceurs, depuis la rentrée. De quoi assurer à TF1 des lendemains qui chantent.