Claire Chazal n'aime pas beaucoup celles qui rêvent de lui succéder. La présentatrice des journaux du week-end de TF1, qui a déjà reconnu une rivalité avec Laurence Ferrari, a expliqué faire très attention aux personnes qui souhaitent prendre sa place. "La place que j'occupe est très enviable et très enviée. Elle est rare. On est peu nombreux à exercer ce métier magnifique et l'exercer sur ces chaînes importantes à des heures de grande écoute. Et c'est un grand privilège et j'en ai bien conscience", a confié la journaliste au micro de Nikos Aliagas dans l'émission "Sortez du cadre", qui sera diffusée demain à partir de 11H00 sur Europe 1.
"Alors forcément, qui dit privilège dit candidat à occuper ce poste. Et c'est tout à fait logique. Et, moi-même, j'ai eu des jeunes femmes qui m'ont remplacée et qui ont eu aussi envie de me remplacer définitivement. Bien sûr, ça me parait tout à fait humain", a ajouté Claire Chazal, reconnaissant avoir connu des périodes "d'inquiétudes", "des étés plus compliqués que d'autres" et "des peurs à la rentrée".
Mais la journaliste affirme avoir toujours mené des "combats loyaux". "Pas de sorcellerie ni de coups bas. J'ai essayé de me battre avec mes armes qui sont simplement le travail", a-t-elle assuré. Et Claire Chazal promet de n'en tirer aucune aigreur. "J'ai plutôt tendance à passer à autre chose mais il y a des choses que je n'oublie pas. Si on a fait des choses vraiment contre moi que je n'ai pas aimées... Je n'ai pas d'aigreur mais il y a des choses que je n'oublie pas et il y a des gens à qui je ne pardonne pas", a-t-elle lancé.
Ce tacle fait évidemment penser à Laurence Ferrari. La prétendue rivalité entre les deux stars de l'info de la Une a fait couler beaucoup d'encre entre 2002 et 2012. "C'est une période un peu révolue. Avec Gilles Bouleau, ça se passe très bien !" avait expliqué Claire Chazal quand on l'interrogeait il y a quelques semaines à ce sujet.