
Les candidats de cette saison 20 de "Pékin Express" ont à peine mis les pieds en Afrique du Sud, terminus de leur escapade, que Stéphane Rotenberg a déjà donné rendez-vous aux téléspectateurs de M6 pour la suite. Car, comme en 2024, la sixième chaîne diffusera deux éditions de son jeu d'aventure cette année. Désormais en plein tournage de ce nouvel opus, l'animateur vedette a informé les lecteurs de "Diverto" du lieu où il allait se rendre avec les équipes de production. Une contrée aux antipodes des pays du continent africain traversés dans la mouture en cours de diffusion. "Pour la première fois, on va aller dans un pays froid, tout au long de la saison, avec un univers de montagnes et de neige. On va au Kazakhstan pour la fin de l'hiver et le début du printemps", a révélé celui que les férus de "Top Chef" retrouveront dès le 26 mars pour un nouveau coup de feu. Le jeu se déroulera donc dans un seul pays, comme en 2010 et 2024 (Inde) mais aussi en 2022, au Sri Lanka.
Si certains participants ont déjà été confrontés à la météo très fraîche de la Mongolie, de la Russie ou du Kirghizistan, le thermomètre descendra de plusieurs crans lors de cette aventure dans l'Asie centrale, y compris pour l'animateur. "Toutes les interviews narratives seront faites en intérieur et non en extérieur. Faire 'Pékin express', ce n’est jamais simple, mais le faire dans le grand froid, c’est encore plus compliqué !", a souligné Stéphane Rotenberg, qui se tiendra bien au chaud pendant les épreuves, notamment grâce à des vêtements électriques et chauffants. "Je vais avoir une sorte de doudoune avec une batterie intégrée, pour quand je fais le pied de grue pendant des heures à attendre les candidats. Je n’ai pas envie de me momifier sur place !", a-t-il plaisanté face à un confrère de "TV Mag".
Les candidats, eux aussi, seront préparés à affronter ces conditions glaciales et inédites, même s'ils ne connaissent pas l'endroit où ils atterriront. La production leur a en effet demandé de prévoir dans leurs bagages des affaires pour se protéger du froid. "On aura entre -20 et 0 degrés, si on a de la chance. C’est montagneux, ce sont des steppes, j’ai hâte. C’est un pays immense, qu’on va pouvoir parcourir dans tous les sens et découvrir", s'enthousiasme le plus globe-trotteur des animateurs. Car, cette édition s'annonce dantesque : "C’est particulier, ça arrive rarement. Souvent, le temps d’une étape, on peut avoir deux ou trois jours de froid, ce n’est pas facile, mais on gère. Là, on a cet univers hivernal, quasiment contre-intuitif pour 'Pékin Express' : on imagine les candidats qui dégoulinent de chaleur, qui ont chaud, alors que là il va y avoir du blizzard, de la montagne, des steppes... On a hâte de ce visuel, qui va être tellement différent".

La destination de cette saison "événement" sera-t-elle suffisamment attrayante pour permettre à "Pékin Express" de repasser au-dessus de la barre des deux millions de téléspectateurs ? La dernière étape de "la route des tribus légendaires" entre le Lesotho et l'Afrique du Sud, diffusée le 13 mars, a tenu en haleine 1,52 million de téléspectateurs entre 21h14 et 22h04, soit 8,0% du public âgé de quatre ans et plus et 14,0% des FRDA-50. La deuxième partie de l'émission a fait voyager 1,19 million de téléspectateurs entre 22h13 et 23h35, ce qui représente 9,5% du public. Des audiences dans la moyenne des scores depuis la soirée de lancement du 17 janvier dernier qui avait suscité la curiosité d'1,90 million d'aventuriers par procuration.