Habitué aux sorties cash, Jean-Pierre Coffe semble bien décidé à aller encore plus loin cette année. Le chef et critique gastronomique, connu pour ses nombreuses apparitions télé et radio, a fait couler beaucoup d'encre ces derniers mois suite à la parution de ses mémoires, baptisées "Une vie de Coffe", dans lesquelles il critique Michel Denisot et revient notamment sur sa collaboration avec Jean-Luc Delarue, envers qui il tient des propos très durs.
En mai dernier, Jean-Pierre Coffe n'avait pas hésité à répéter face à Sophie Davant, gênée, tout le mal qu'il pensait de Jean-Luc Delarue . "Je maintiens que c'est une cuvette de chiottes de gare ! (...) C'était un petit gars formidable. Et puis tout à coup, est arrivée d'abord la fumette et puis le sniff, ça a été la dégringolade absolue... Et puis le fait qu'il soit rentré avec autant d'argent que lui a accordé Elkabbach (Jean-Pierre Elkabbach, le patron de France Télévisions en 1994 qui a fait venir Jean-Luc Delarue sur le service public, ndlr). Il a pris une tête comme ça !", avait lancé le cuisinier avant que l'animatrice ne passe rapidement à autre chose.
Cette semaine, c'est dans les colonnes du magazine belge Télé Pro que Jean-Pierre Coffe tient des propos à nouveau très durs. Cette fois, c'est envers son vieil ami Philippe Bouvard, qu'il a pourtant côtoyé pendant vingt ans dans "Les Grosses têtes" sur RTL. Le cuisinier n'a en réalité pas apprécié une critique de Philippe Bouvard à propos de son autobiographie. "Jean-Pierre Coffe sort son livre comme on sort un vieux chien : pour ses besoins", avait lâché Philippe Bouvard il y a quelques semaines.
Interrogé par Télé Pro sur cette sortie, Jean-Pierre Coffe n'a pas mâché ses mots au sujet de l'ancien animateur des "Grosses têtes". "Je me demande vraiment qui est le vieux chien ! C'est plutôt lui qui devrait être piqué ! Il n'entend plus, ne voit plus et se fait écrire ses textes par d'autres", a-t-il ainsi lancé, avant de poursuivre sa diatribe envers Philippe Bouvard. "J'ai eu la légion d'honneur sans la demander. Bouvard lui est allé commander la sienne dans les colis de Jean-Pierre Raffarin, avant son départ de Matignon", a-t-il affirmé.