A l'occasion de la sortie de son nouvel album, le chanteur Didier Barbelivien accorde un entretien au quotidien Nice Matin. Une occasion pour lui de parler aussi d'argent et de sa relation avec son ami Nicolas Sarkozy. Il se dit favorable à la "justice fiscale" et déclare payer entre 200 et 300.000 euros d'impôts par an, soit "plus de la moitié de (ses) revenus". Même s'il n'a "jamais pensé à l'exil fiscal", il considère être "racketté par les impôts sans que cela change grand chose" depuis plusieurs années. Selon lui, la taxe à 75% est donc une "connerie."
Le chanteur admet qu'il "n'arrive pas à comprendre comment on nous gère", ce qui aurait donné lieu à quelques engueulades avec l'ancien président. Citoyen déçu par ceux qui nous gouvernent et orphelin en politique depuis que son ami à perdu l'élection présidentielle, il reste en désaccord avec certaines de ses idées. Le chanteur avoue même qu'il aurait été prêt à voter Mélenchon s'il n'avait pas "proposé des choses aberrantes en matière de confiscation de patrimoine."
Pour autant, las de ces incartades, les deux amis ont décidé de ne plus parler politique, et encore moins économie. Désormais, quand ils se retrouvent, c'est donc pour parler chiffons.... Tous deux papas de jeunes enfants, il se réunissent autour de "conversations passionnantes" du genre, dit-il : "qu'est ce que tu lui mets comme couche-culotte ?"