De la télévision au grand écran. Lors des premières séances parisiennes, la comédie dramatique américaine "Downton Abbey" s'est imposée face à la concurrence. Ce long métrage de Michael Engler a attiré 2.215 spectateurs dans 25 salles - la plus grosse diffusion des nouveautés du jour -, s'offrant là le 19e meilleur démarrage de l'année. Et là où Michelle Dockery signe le meilleur démarrage parisien de sa carrière, Maggie Smith n'a elle pas connu de lancement si bon depuis la fin de la saga "Harry Potter".
Derrière, la comédie française "Le Dindon" de Jalil Lespert avec Dany Boon, Guillaume Gallienne et Alice Pol a convaincu 837 Parisiens dans 21 salles de la capitale. Il s'agit du plus faible démarrage d'un film de Jalil Lespert depuis son premier film, "24 mesures" (315 curieux en décembre 2007). Guillaume Gallienne doit lui remonter à août 2012 et "Confession d'un enfant du siècle" pour trouver un lancement aussi faible (248 curieux). Dany Boon, lui, n'a pas connu de premières séances si basses depuis... "La Maison du Bonheur" en juin 2006 (620 entrées) !
Le drame français "Au nom de la Terre" d'Edouard Bergeron avec Guillaume Canet, Veerle Baetens et Anthony Bajon récupère la médaille de bronze grâce à 824 spectateurs dans 18 salles. Il devance ainsi "Rambo: Last Blood", dernier épisode de la célèbre saga d'action américaine avec Sylvester Stallone. Cette réalisation d'Adrian Grunberg a séduit 782 cinéphiles parisiens dans 14 salles, soit le plus faible démarrage de la franchise. Enfin, dans 16 salles, le drame suisso-belge "Ceux qui travaillent" d'Antoine Russbach avec Olivier Gourmet a convaincu 719 curieux.