Ce sont les aléas du direct ! Hier après-midi, rien ne s'est passé comme prévu lors du lancement de "C'est que de la télé" sur C8 à 17h45. Le présentateur Julien Courbet est en effet apparu à l'antenne sans le son. L'animateur ne s'est pas rendu compte de l'incident technique et a donc débuté sa quotidienne en présentant ses chroniqueurs du jour. Pendant une minute, les téléspectateurs ont pu suivre le programme sans entendre parler Damien Canivez, Emilie Lopez ou Jean-Michel Cohen.
La chaîne a ensuite dégainé une bande-annonce de secours, qui diffusait des extraits de toutes les émissions de C8, tandis qu'un bandeau déroulait en bas de l'écran : "Nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour cette interruption. La suite de nos programmes dans quelques instants". Cette coupure du programme a duré plus de trois minutes.
A 17h50, "C'est que de la télé" est revenu à l'antenne de C8 avec un plan sur les spectateurs, surpris d'apparaître à la télévision. "On n'a pas bossé pour rien quand même", entend-on s'agacer Francesca Antoniotti, également chroniqueuse de l'émission, alors qu'elle ne savait pas qu'elle était en direct. "Deuxième tentative ! Ne vous emballez pas, gardez vos applaudissements parce que ça peut recouper à n'importe quel moment. En général, quand ça coupe une fois, ça coupe trois ou quatre fois", a lancé Julien Courbet, amusé, face caméra.
"Si vous venez de nous rejoindre, on a commencé l'émission, on nous a dit au bout d'un moment 'Arrête de parler, ils ont coupé l'antenne'. Visiblement, il y avait des problèmes de son. Là, ça revient", a expliqué le présentateur du show, avant de glisser : "Je tiens à signaler à la régie que vous êtes revenus, vous n'aviez même pas prévenu. J'étais limite en train de me gratter les fesses et de parler avec une jeune fille". Julien Courbet a alors repris la présentation des chroniqueurs, comme il le fait à chaque début d'émission. puremedias.com vous propose de visionner le bug. A noter la belle audience tout de même de l'émission qui a fédéré hier 615.000 téléspectateurs, soit 4,0% du public selon Médiamétrie.