Il ne l'a pas loupé ! Hier soir, Julien Cazarre a proposé sa première chronique de l'année dans l'émission "J+1" diffusée sur Canal+. Comme chaque semaine, il a tourné en dérision le monde du football français, ainsi que les journalistes et les experts du groupe Canal+. Lors de sa chronique, il a épinglé une séquence du documentaire "Ma part d'ombre", réalisé par l'ex-international français Olivier Dacourt.
Le poil à gratter de la chaîne cryptée a ainsi repéré un énorme faux-raccord lors d'une interview du consultant de Canal+ avec le joueur du Bayern Munich, Franck Ribéry. "Ca arrive que parfois, on fait une question, le mec en face bafouille, on refait la réponse. Il y a des fois où il y a des faux-raccords. Là, il y a un petit détail dans la réponse de Ribéry à la question d'Olivier Dacourt", a annoncé Julien Cazarre, avant d'ajouter : "Vous verrez, c'est très léger. Regardez !"
Le chroniqueur a alors lancé l'extrait de l'interview dans lequel on voit Franck Ribéry, assis sur un tabouret, avec un t-shirt noir manches longues, interrogé par Olivier Dacourt, portant une veste noire et blanche, également sur une grande chaise, près d'une vitrine avec des trophées. "Qu'est-ce qu'il se passe entre Ribéry le chouchou de la France en 2006 et en 2010, où tu es considéré comme un élément perturbateur ?", demande l'intervieweur. Franck Ribéry répond alors, affalé sur un fauteuil, avec un t-shirt manches courtes, face à Olivier Dacourt, sans veste, les jambes croisées, dans une autre pièce que la salle des trophées.
"On n'a rien vu ! Là, franchement, ce n'est pas un trucage, c'est le vrai montage", a ajouté Julien Cazarre, hilare, sur le plateau, avant de poursuivre : "Il pose une question sur un tabouret. Puis, il n'a pas les mêmes fringues sur un fauteuil vert. Tout va bien !" Le présentateur de "J+1", Nicolas Tourriol, a tenté de défendre le documentaire, en expliquant que "c'était pour avoir un entretien plus abouti". "Le problème, c'est qu'ils l'ont fait en deux fois. Dacourt posait les questions le lundi, et Ribéry, le temps qu'il comprenne, répondait le mardi", a conclu avec ironie l'humoriste. puremedias.com vous propose de visionner la séquence.