Et si "La Reine des neiges" incitait les enfants à l'homosexualité et à la bestialité ? C'est en tout cas ce sur quoi s'interroge un pasteur américain. Alors que le long métrage d'animation Disney a passé il y a peu la barre du milliard de dollars de recettes à travers le monde, devançant même désormais "The Dark Knight, Le Chevalier Noir", le film est accusé d'être... l'oeuvre du diable ! Sur l'antenne de Generations Radio, l'animateur et pasteur américain Kevin Swanson a affirmé s'interroger sur les véritables motivations de "La Reine des neiges".
Accompagné du co-animateur Steve Vaughn, Kevin Swanson a évoqué différents éléments du film qui référeraient selon à lui à l'homosexualité. Ainsi, selon lui, Elsa clâme être "née ainsi" après avoir fui son couronnement, accepter qui elle est comme le montre la chanson phare "Let It Go" et ne se retrouve jamais avec un homme. De plus, selon l'animateur, qui a par ailleurs affirmé avec Steve Vaughn ne pas avoir vu le film, le personnage de Kristoff aurait une relation "contre-nature" avec son renne, Sven.
"Je ne suis pas un conspirateur fou mais je me demande parfois s'il n'y a pas quelque chose de diabolique derrière. Si j'étais le Diable, qu'est-ce que je ferais pour véritablement réduire en miettes le système social dans son intégralité et faire quelque chose de vraiment, vraiment, vraiment diabolique pour les enfants de 5, 6, 7 ans de familles catholiques en Amérique ? J'aurais acheté Disney en 1984, c'est ce que j'aurais fait !" a poursuivi Kevin Swanson, parlant de Disney comme "l'une des entreprises les plus pro-homosexuelles des Etats-Unis" qui a pour but "d'endoctriner lentement" les jeunes avec divers films.
"Mes amis, c'est diabolique, juste diabolique" a continué Kevin Swanson à propos du long métrage d'animation qui a attiré près de 5 millions de spectateurs en France. "Je me demande si les gens se disent 'Ce joli petit film va inciter ma fille de 5 ans à devenir lesbienne, à être ouverte à l'homosexualité ou au moins à la bestialité'. Je me demande si les parents qui vont voir La Reine des neiges s'en aperçoivent. Je me demande s'ils y vont et se disent juste 'Ouais, emmenons mes enfants de 5 et 7 ans se faire endoctriner en bas âge" s'est interrogé le pasteur américain en guise de conclusion.