C'est reparti pour "Quelle époque" ! Pour ce tout premier numéro de cette nouvelle saison, Léa Salamé et ses complices recevaient, samedi 21 septembre, les animateurs Arthur, Flavie Flament et Julien Arnaud, l'essayiste Caroline Fourest, la médaillée d'or aux Paralympiques Aurélie Aubert, ou encore le président du Comité d'organisation de Paris 2024 Tony Estanguet.
"J'ai des interrogations"
Également invitée dans le talk-show de France 2, Sonia Mabrouk a notamment été interrogée sur les Jeux olympiques de Paris 2024. "Sonia, vous avez aimé la cérémonie d'ouverture ?", a demandé Léa Salamé. La journaliste d'Europe 1 et CNews a répondu : "Moi je n'ai pas réagi. J'étais un peu occupée, vous avez montré le bébé tout à l'heure. J'ai des interrogations. Je n'ai pas du tout ni une vision conservatrice, ni de la nostalgie. Ce qui m'a un peu dérangé parfois, c'est que je pense qu'avec tout ce qu'on a comme monuments, tout ce qu'on a comme passé, comme patrimoine, on aurait pu quand même non pas l'exalter, je ne suis pas dans l'exaltation..."
Sur le plateau de la deuxième chaîne, celle qui vient de publier le livre "Et si demain tout s'inversait" a poursuivi : "Mais on aurait pu contribuer à, comment dire, infuser un peu plus de fierté compte tenu de ce patrimoine. Moi j'aime un mot, j'ai dit tout à l'heure le plaisir, la beauté. C'était très beau ! On aurait pu - et c'est facile depuis ma place ici de vous de le dire - mais je pense que cette beauté là qui est historique, qui est patrimoniale, c'est aussi notre fierté nationale."
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L'invité permanent de l'émission, Christophe Dechavanne, a lancé : "Mais en quoi aurait-on pu plus sublimer les monuments qui ont été rarement aussi beaux ?". Sonia Mabrouk a alors déclaré : "Ah mais si vous voulez que je sois chef de cérémonie, je veux bien vous proposer... C'est un avis qui est tout à fait personnel, qui a été partagé par certains. Cela ne veut pas dire que je ne l'ai pas suivie. J'ai trouvé qu'il y avait des très très bons moments, qu'il y avait de l'émotion. Mais je pense à mon avis qu'on aurait pu davantage mettre en avant notre richesse patrimoniale et je n'ai pas honte de le dire".
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