Interview
Marco Lamensch : "Refaire 'Strip Tease' aujourd'hui serait très compliqué"
Publié le 20 novembre 2018 à 16:24
Par Benjamin Meffre
Le créateur de l'émission culte de France 3 raconte ses coulisses à puremedias.com.
Générique de "Strip-tease"
La suite après la publicité

"'Strip Tease' se déshabille". Trente-trois ans après la naissance de l'émission culte de France 3, l'un de ses deux créateurs, Marco Lamensch, publie un livre de souvenirs passionnant sur cet objet télévisuel non-identifié. Publié aux éditions Chronique, l'ouvrage permet de découvrir les coulisses du mystérieux programme franco-belge diffusé sur la RTBF à partir de 1985, puis en France de 1992 à 2012. Entrés depuis longtemps au panthéon télévisuel, les près de 850 films documentaire de "Strip-tease" ont fait l'objet d'autant d'éloges que de critiques. Marco Lamensch a accepté d'en parler avec puremedias.com.

Propos recueillis par Benjamin Meffre.

puremedias.com : "Strip Tease" a longtemps été entouré d'un halo de mystère qui contribuait indéniablement à son charme, et peut-être même à son succès. Pourquoi avoir décidé d'en révéler les coulisses maintenant dans ce livre ?
Marco Lamensch : Il n'y a jamais vraiment eu de mystère "Strip Tease". Il n'y avait rien de particulièrement caché. A l'époque, on n'a juste pas cru utile de communiquer sur la manière dont on travaillait. Au bout de quelques années, il y avait cependant beaucoup de gens qui posaient des questions sur cette manière de travailler. Je voulais y répondre. Et puis je voulais surtout rendre hommage à tous les gens qui ont bossé avec nous dans ce qui est pour moi un exemple de service public. J'ai juste pensé qu'il était temps de donner quelques explications, c'est tout.

"'Strip Tease' vous déshabille", annonçait la voix off à la fin de chaque émission. L'idée était que les téléspectateurs se reconnaissent tous dans les personnages à l'écran ? De déshabiller le genre humain ?
Ce slogan a été imaginé après avoir trouvé le titre de l'émission. On a donné ce nom à l'émission un peu par hasard, parce qu'on avait vu une affiche dans une salle de montage, et on a trouvé le slogan après. Effectivement, l'idée était, si ce n'est de "déshabiller", de montrer les sociétés belges et françaises telles qu'elles étaient ou telles que nous les voyions.

Est-ce que vous diriez justement que "Strip Tease" est la première télé-réalité ?
Non. D'abord, "Strip Tease" date de bien avant l'arrivée de la télé-réalité. Il y a ensuite deux différences fondamentales. La première, c'est que dans "Strip Tease", un réalisateur trouve une situation et essaye de la décrire. Il imagine un mécanisme de cinéma pour la montrer telle qu'il la voit. Dans la télé-réalité qu'on connaît, c'est le contraire : on prend des gens que l'on met artificiellement ensemble, et on voit ce qu'il se passe. C'est un peu comme des rats dans un terrarium. La seconde différence importante, c'est que dans "Strip Tease", il y a une gratuité. Les gens nous autorisent à les filmer mais on ne les paye jamais. Sinon, ils deviendraient des acteurs. Dans la télé-réalité, les gens sont payés et sont justement des acteurs.

"'Strip Tease', c'est davantage la grammaire du cinéma que celle de la télévision" Marco Lamensch

Si je vous dis que "Strip Tease", c'est un mélange entre La Comédie humaine de Balzac et Les Rougon-Macquart de Zola, le tout à la sauce cathodique, vous prenez ?
Oui. Balzac et Zola, c'est plutôt bien (rires). Et puis, "cathodique" forcément. Mais "Strip Tease", c'est davantage la grammaire du cinéma que celle de la télévision. La télévision a pour principe de répéter constamment les choses. "Strip Tease", si on va pisser au milieu d'un film, on peut revenir et ne plus rien comprendre à ce qu'il se passe.

Evoquons la fabrication des films. Quel était votre rôle précis ?
Avec Jean Libon (le co-créateur de "Strip Tease", ndlr), réalisateur comme moi, on a lancé l'impulsion. Nous avons réuni des gens qu'une forme de télé un peu différente intéressait. On a dirigé ce bateau pour le mener à bon port. On veillait notamment à ce qu'il y ait une certaine cohérence entre les films, qui étaient réalisés par des personnes différentes.

Les sujets de documentaire venaient à vous et vous les sélectionniez ?
La situation est un peu différente entre la Belgique et la France. En Belgique, nous travaillions au sein du service public audiovisuel. Moi, Jean Libon, et l'essentiel des réalisateurs travaillant pour "Strip Tease" étaient salariés de la RTBF. En France, c'était différent. Il y avait des boîtes de production extérieures avec des réalisateurs qui venaient nous proposer des sujets. On en discutait avec eux. Si besoin, on leur demandait d'approfondir.

Dans votre livre, vous donnez quelques exemples de propositions de film que vous avez refusées, comme un sur un collectionneur de phallus. Quels sont les sujets les plus fous que l'on vous a proposés ?
Il y en a toute une collection ! Je ne les ai pas retenus !

Pourquoi disiez-vous non à certains sujets ?
Parce que si on commençait à faire des docs sur tous les cinglés de la terre, on ne s'en sortait pas... Il y a quelques cinglés dans "Strip Tease". Mais je crois que la proportion de zozos est cependant moins grande dans l'émission que dans la société.

"Il y a quelques cinglés dans 'Strip Tease'" Marco Lamensch

Ne choisissiez-vous pas cependant parfois d'offrir sciemment un petit voyage au pays de la folie, ou au moins de la loufoquerie, à vos téléspectateurs ?
On a toujours été sensibles à l'humour. Quand il y a des situations plus cinématographiques, on ne les évacue pas. Mais on n'a pas cherché à le faire systématiquement. Après "La soucoupe et le perroquet" (l'un des films de l'émission les plus connus, ndlr), on a reçu plein de projets similaires que nous avons refusés. "La soucoupe...", c'est d'ailleurs plus qu'un portrait de loufoquerie. C'est le portrait d'une mère et de son fils. C'est aussi un film éminemment poétique.

L'équipe de tournage d'un épisode de "Strip Tease", c'était combien de personnes ?
Trois personnes en général. Un cameraman, un preneur de son et un réalisateur. Mais il pouvait parfois n'être que deux. Je crois même qu'il y a un ou deux films qui ont été faits par une seule personne. Mais ce n'est pas très bon techniquement, notamment pour le son.

Comment trouviez-vous les personnages de vos documentaires ?
Il n'y avait pas de règle. Chaque réalisateur faisait un peu comme il voulait. Il y avait des réalisateurs qui passaient leur nuit dans les cafés à discuter, à boire des coups, pour trouver un sujet. Il y en a un qui prenait la carte de France, mettait son doigt au hasard sur un endroit et y allait. Il s'installait alors 8-10 jours et discutait avec les gens jusqu'à ce qu'il trouve un sujet intéressant. Il y a des gens qui prenaient l'annuaire et cherchait un sujet dedans. Il y a cependant une chose à laquelle il faut tordre le coup. Sur les près de 850 films qu'on a faits, il y en a seulement cinq ou six où ce sont les gens filmés qui se sont présentés d'eux-mêmes. En général, on refusait car les gens se présentent rarement gratuitement. Il y a souvent un but derrière, comme celui de se faire connaître.

Il n'y avait pas de castings, d'appels à témoins ?
Non.

Marco Lamensch © Marco Lamensch

En général, les personnes filmées connaissaient-elles l'émission "Strip Tease" ?
Pas au début car l'émission n'était pas connue. Mais rapidement, il savait ce que c'était. Les réalisateurs se devaient de les informer. C'était une des règles.

Certains personnages cherchaient-ils déjà leur "quart-d'heure de célébrité" ?
Pas tellement. Cela a plutôt commencé avec l'émergence de la télé-réalité et des réseaux sociaux. A l'époque, on arrivait chez les gens et on passait un 'gentlemen's agreement'. On tapait dans la main. On n'avait pas de contrat jusqu'en 1995. A 99%, on a d'ailleurs gardé d'excellentes relations avec les gens qu'on a filmés. Moi, j'ai des gens que je revois alors qu'on les a filmés il y a 10 ou 15 ans.

Combien de temps suiviez-vous vos personnages ?
En général, c'était autour d'une semaine-dix jours de tournage.

Seulement ?!
Oui, je parle des films dont la durée finale est d'un quart d'heure. Pour les films faisant une heure, on suivait les gens plus longtemps.

Quand on regarde les films, on a l'impression que vous les suivez des mois entiers ?
Ah non ! Les films d'un quart d'heure, c'était en général huit-dix jours de tournage. Et minimum deux semaines de montage par contre.

J'allais pourtant dire que le temps était votre allié pour obtenir la confiance des gens que vous filmiez ?
Attention, c'était des journées fort employées. Ce n'était pas des journées de trois heures. On arrivait à 8h du matin et on partait à 8h du soir. Parfois plus.

"La télévision a toujours été bavarde" Marco Lamensch

Y'a-t-il des films que vous avez tournés et montés, et que vous avez finalement mis au placard ?
Non, ou alors je ne m'en souviens pas. Financièrement, cela aurait été de toute façon trop compliqué. Après, il y a des films que nous avons interrompus à la moitié du montage, en se rendant compte qu'on n'arriverait jamais à faire un film. Il y a aussi des projets qui sont parfois tombés à l'eau pendant le tournage à cause d'un couac.

Certains films de "Strip Tease" ont eu des conséquences graves pour les personnes filmées. Je pense à Arnaud Libert, héros du film "Police et polissons" en 2008. Ce chef de la police municipale des Lilas a été suspendu pour ses méthodes montrés dans "Strip Tease" et que certains ont jugé violentes...
Avec ce film, nous nous sommes retrouvés dans une curieuse situation : celle de le défendre et de défendre la police, ce qui n'était pas notre truc a priori (rires). Il y avait dans ce film une image qui était plus forte que ce qu'elle signifiait elle-même. On voyait le type bousculer un jeune mais c'était plus du cinéma qu'autre chose. Il n'y avait pas de quoi fouetter un chat.

D'où vient la musique de "Strip Tease" ?
On ne voulait pas qu'on puisse identifier "Strip Tease" à un type de musique précis. On voulait quelque chose de moins clivant que du rock ou du jazz. On a écouté des tonnes de cassettes. Et par hasard, je suis retombé sur une vieille cassette d'une fanfare de l'école d'architecture de Bruxelles qui jouait cette musique. On a appris par la suite qu'il s'agissait d'un thème venant du Mali.

Concernant les poèmes de fin d'émission, qui les écrivait et pourquoi ?
C'était moi. Comme il n'y avait pas de commentaires, ou d'interview, on s'est dit que l'emballage devait quand même aider les gens à appréhender les films qu'on leur proposait. Il y avait deux petites phrases qui présentait le film avant, et un petit poème après qui essayait de montrer qu'il ne fallait pas tout prendre au premier degré, et parfois donner une petite morale. L'ensemble était plutôt joyeux, parfois grinçant et ironique. C'était l'état d'esprit des gens qui faisaient l'émission.

"Strip Tease", c'était aussi l'absence totale de voix off et donc de guide pour le téléspectateur. Ca semble aujourd'hui inimaginable. La télé est-elle selon vous trop bavarde ?
Elle a toujours été bavarde je crois.

"La télévision traite parfois le téléspectateur un peu comme un con" Marco Lamensch

La télé prend-t-elle davantage le téléspectateur pour un con aujourd'hui ?
Je ne sais pas si elle le prend pour un con. Parfois, elle le traite un peu comme un con, oui. La télé a une manière de dire et de répéter les mêmes choses. Dans la télé-réalité, quand on voit un type se laver les dents, ça ne suffit pas. Il faut qu'on marque en bandeau : "Regardez, Jean-Jacques se lave les dents", qu'une voix off le dise, voire Jean-Jacques lui-même. C'est quand même terriblement redondant et tautologique....

Avec "Strip Tease", on entre dans l'univers de quelqu'un, mais forcément de manière partielle. On n'a pas de contexte, on n'a que ce que le réalisateur veut bien nous montrer. Plutôt qu'un Strip Tease intégral, c'est plutôt un effeuillage que vous contrôlez ?
Oui, nous sommes sortis de cette envie du documentaire de vouloir tout dire. C'est justement l'idée de "Strip Tease" : on montre quelqu'un dont on ne sait pas tout. On ne sait même pas le plus souvent où cela se passe. L'idée est d'offrir une tranche de vie sans être exhaustif, avec des interprétations différentes possibles. Cette ambiguïté ne m'a jamais dérangé. On la revendique même.

Dans votre livre, vous répondez aussi aux critiques faites à "Strip Tease" dont la principale : celle selon laquelle vous vous moqueriez et ridiculiseriez les personnages que vous filmez.
La notion de ridicule n'est pas intrinsèque. On n'est pas ridicule comme on est cul-de-jatte. Quand on est cul-de-jatte, la personne qui l'est le sait, et tout le monde autour d'elle la reconnaît comme cul-de-jatte. Quand on est ridicule, c'est toujours par rapport à quelqu'un. C'est quelqu'un qui vous trouve ridicule. En général d'ailleurs, ceux qui nous reprochaient d'avoir ridiculisé quelqu'un n'étaient jamais des gens de la classe sociale à laquelle appartenait la personne prétendument ridicule. Ce sont des riches qui estimaient qu'on ridiculisait les pauvres, ou des petits qui prétendaient qu'on ridiculisait des grands. Mon souhait - et je ne dis pas que c'est toujours arrivé -, c'est que les gens se reconnaissent dans les films. Qu'ils disent : "c'est moi".

"Les meilleurs 'Strip Tease', c'est quand on rend la banalité passionnante" Marco Lamensch

"Strip Tease" a aussi été souvent taxé d'impudeur. Vous allez me dire que c'est aussi une notion relative ?
Quand on voit quelque chose de fort dans "Strip Tease", c'est souvent le point émergé de l'iceberg. Cela veut dire qu'on a laissé dans la salle de montage des choses infiniment plus fortes... En général, on essayait de faire comprendre sans tout montrer.

France 3 a-t-elle censuré un de vos films ?
Non. Parfois, ils étaient un peu inquiets et ils venaient voir. Mais ils n'ont jamais censuré un film.

On vous a aussi reproché de filmer toujours les sans-grade, les pauvres, les prolos...
C'est faux. Il y a plein de riches dans "Strip Tease", et on ne les a pas traités avec plus ou moins de ménagement.

Avez-vous un film préféré dans les 850 qui composent "Strip Tease" ?
Les meilleurs "Strip Tease", c'est quand on rend la banalité passionnante. Il y a un film que j'aime beaucoup. C'est "Maryflo". C'est un film d'une heure en quatre parties, sur un conflit social en Bretagne.

"Strip Tease" a-t-elle justement une dimension politique assumée ?
Stricto sensu non. On a fait quelques portraits d'hommes politiques. Pas beaucoup parce qu'ils n'avaient pas vraiment envie d'être suivis 10 jours d'affilée, sachant qu'ils n'allaient pas toujours pouvoir se contrôler. Mais au sens large, oui, "Strip Tease" a une dimension politique. On veut montrer la vie de la cité. C'est la dimension sociologique de "Strip Tease". On montre les rapports humains dans différentes situations, dans la famille, en entreprise, etc...

"Strip Tease" est-il du journalisme ?
Bonne question. Je ne crois pas que cela le soit. On ne pourrait pas se contenter d'informer les gens avec une telle émission. Elle ne peut exister que parce qu'il y a le journal télévisé, "Envoyé spécial", "Complément d'enquête" et que sais-je encore. Mais parfois, cela dit des choses que ne disent pas les émissions d'information.

"Désormais, quand on arrive avec une caméra, on voit un petit dollar s'allumer au fond de l'oeil des gens" Marco Lamensch

A l'heure des réseaux sociaux, serait-il encore possible de refaire "Strip Tease" ?
Je crois que ce serait très compliqué de refaire l'émission. Le moindre numéro serait très dur à faire, avec des débats enflammés et idiots.

La polémique née sur Twitter autour du film "Recherche bergère désespérément" en 2012, n'est-ce pas la preuve que ce n'est plus possible ?
Je n'étais plus à "Strip Tease" à ce moment-là. Mais on reprochait à ce film une séquence qui ne m'avait pas fondamentalement choqué. C'est effectivement les réseaux sociaux qui, avec un effet boule de neige, en ont fait un truc. Les réseaux sociaux, appliqués aux trois-quarts des films de "Strip Tease", les auraient rendus impossibles à diffuser.

Et peut-être impossible à faire car la plupart des anonymes peuvent se considérer désormais comme de potentielles célébrités ?
Ah oui. C'est un des effets de la télé-réalité aussi. Désormais, quand on arrive avec une caméra, on voit un petit dollar s'allumer au fond de l'oeil des gens. Les gens se disent : il y a du fric à se faire, que ce soit en recherche de notoriété ou directement. Je crois que ce serait très compliqué à faire aujourd'hui.

Vous ne voulez pas que l'émission revienne à la télévision ?
Il y aurait certainement autant de choses à montrer, sinon plus. Mais la difficulté de faire les films est le problème.

"Il y a un tiers des 'Strip Tease' qui sont formidables, un tiers où on aurait pu mieux faire et un tiers qu'on n'aurait peut-être pas dû faire" Marco Lamensch

Pour vous, Youtube est une chance pour continuer de faire vivre "Strip Tease" autrement ?
Oui, je crois que c'est bien que cela existe. Il y a une chaîne officielle en France. En Belgique, il y a une filiale de la RTBF qui sauve les archives et se charge de les mettre en ligne.

Quel regard portez-vous sur la télévision d'aujourd'hui ?
Je ne la regarde guère. Je ne vais pas porter de jugement. J'écoute plutôt la radio.

Et pourquoi ne pas faire un "Strip Tease" radiophonique ?
Oui, ça serait peut-être plus simple. Mais sur France Culture, il y a des gens qui font des documentaires radiophoniques qui se rapprochent de "Strip Tease". D'ailleurs, il y a des anciens de l'émission qui y participent.

Regrettez-vous un film diffusé dans l'émission ?
Non. On a tendance à dire qu'il y a un tiers des films qui sont formidables, un tiers où on aurait pu mieux faire et un tiers qu'on n'aurait peut-être pas dû faire. C'est comme une maison d'édition. On sort des bouquins dont certains sont moins bons. Mais je ne regrette pas. Au pire, il s'agissait de films inintéressants.

Quelle pourrait être la trame d'un "Strip Tease" sur vous ?
Sur moi ? Ca serait très compliqué... On parlait tout à l'heure de ridicule. Je suis persuadé que si quelqu'un me filmait, et bien que je me reconnaisse dans son film, il y aurait des gens pour dire : "On ne l'a pas raté. On s'est bien foutu de sa gueule".

l"'Strip-Tease' se déshabille", de Marco Lamensch, édité chez Chronique

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