C'est déjà la rentrée pour Ophélie Meunier. A peine un mois après la dernière de son émission "Le Tube" sur Canal+, la jeune femme de 28 ans officie désormais sur la Six où elle présente ce soir son premier "19.45 ", le journal de la rédaction de M6. Elle fait en effet partie des jokers de la chaîne pour la présentation des bulletins d'informations cet été.
Mais c'est surtout pour prendre la tête de "Zone Interdite" que la jeune femme a quitté Canal+. Alors que Marie-Ange Casalta assurera la présentation du magazine cet été en remplacement de Wendy Bouchard, attendue à la rentrée sur France 3, c'est Ophélie Meunier qui en prendra les commandes dès la rentrée.
"Je n'ai pas quitté Canal +, j'ai rejoint M6, c'est différent. On m'a proposé de présenter 'Zone interdite' et de rejoindre l'équipe des jokers des JT, deux excellentes raisons de me décider. Ça n'a pas été une décision facile, j'ai tout appris à Canal" déclare-t-elle ce lundi dans les colonnes du " Parisien". Depuis trois ans, la journaliste officiait en effet sur la chaîne cryptée avec différents programmes à son actif. En 2013, elle avait intégré l'équipe du "Petit Journal" de Yann Barthès où elle incarnait la "Minute pop" avant de rejoindre Ali Baddou l'année suivante sur l'émission de la mi-journée "La Nouvelle Edition", puis "Le Tube", l'émission média du samedi de la chaîne, cette saison.
Dès ce soir, Ophélie Meunier présentera donc quelques JT estivaux de la rédaction de M6, une page d'information qui ne semble pas l'effrayer. "Faire de l'info, c'est ma formation, j'ai fait une école de journalisme, j'ai commencé à la rédaction d'iTELE. Je suis simplement ravie" confie-t-elle. L'été dernier, la journaliste de l'ESJ Paris s'était déjà prêtée à l'exercice en présentant les bulletins d'info sur Canal+.
L'arrivée d'Ophélie Meunier au "19.45" intervient dans un contexte difficile, suite à l'attentat de Nice le 14 juillet dernier. La journaliste se dit pourtant prête à prendre la relève de Nathalie Renoux notamment, le lendemain du drame. "Je me sens prête, sinon, je n'irais pas", conclut-elle.