Elle n'a pas apprécié de se retrouver en Une de son propre journal. Jeudi matin, Valérie Trierweiler s'est emparée de son compte Twitter pour manifester sa colère : "Quel choc de se découvrir à la Une de son propre journal. Colère de découvrir l'utilisation de photos sans mon accord ni même être prévenue". S'en est suivi un échange plutôt tendu entre les deux parties. Mais la compagne de François Hollande n'a nullement l'intention de quitter Paris Match.
"Je ne démissionnerai pas" a déclaré la journaliste qui officie aussi sur Direct 8, lors d'un voyage à Varsovie aux côtés de son compagnon, ajoutant encore une fois qu'elle "désapprouvait le fait qu'ils ne (l')aient pas prévenue". Valérie Trierweiler affirme aussi avoir envoyé un SMS au directeur de la rédaction de Paris Match, en vain.
La journaliste justifie sa décision de continuer sa carrière au sein du magazine par une motivation financière et familiale. "J'ai des enfants dont j'ai la charge financière totale et je n'ai pas de fortune personnelle" explique-t-elle. Jeudi, après les explications du magazine sur Twitter, Valérie Trierweiler avait reproché au magazine "son sexisme en cette journée des droits des femmes".