"Closer" contre-attaque. En mars et en juin dernier, Valérie Trierweiler avait obtenu la condamnation du magazine dirigé par Laurence Pieau après la publication en février d'un article évoquant les vacances à l'Ile Maurice de l'ex-Première dame, quelques jours après sa rupture avec François Hollande. Au total, "Closer" avait dû verser 19.000 euros pour atteinte à la vie privée et au droit à l'image. Il avait notamment été reproché au magazine people d'avoir écrit que l'ex-compagne de François Hollande vivait avec un esprit de revanche et qu'elle avait revu le Chef de l'Etat après leur séparation en janvier 2014.
Six mois plus tard, le contentieux entre le titre de presse et Valérie Trierweiler est relancé de manière inattendue avec la sortie du livre de l'ex-première dame, "Merci pour ce moment". Comme le rapporte l'AFP, "Closer" s'apprête ainsi à assigner la journaliste en justice. Le magazine estime en effet qu'avec la sortie de ce livre, l'esprit de revanche de Valérie Trierweiler décrit dans son article est avéré, tandis que les rencontres entre cette dernière et le président de la République après leur rupture sont confirmées dans l'ouvrage.
D'après l'AFP, Mondadori, l'éditeur de "Closer", réclame ainsi un euro de dommages et intérêts, ainsi que le remboursement de ses frais de justice. Contactée par l'AFP, Valérie Trierweiler a indiqué ne pas être au courant de cette procédure, et son avocat Me Georges Kiejman a qualifié la décision de "Closer" de "faribole".