Le résumé de l'intervention de Nicolas Sarkozy sur TF1

Le chef de l'Etat s'exprime ce soir dans Paroles de Français sur TF1. puremedias.com vous propose un suivi en live de ses déclarations et vous invite à partager vos opinions avec les membres connectés.

23.01 > Merci à toutes et à tous pour votre participation.

23.00 > Réaction à la décision du président Moubarak de transférer une partie de ses pouvoirs au vice-président : "C'était inéluctable (...) Je souhaite que le peuple prenne le chemin de la démocratie (...) Nous ferons tout pour ça".

22.54 > Le dernier panéliste est un étudiant, il ne lui reste que deux minutes pour intervenir. "On a besoin de faire des stages pour être en contact avec le monde du travail (...) Nos enseignants, des enseignants chercheurs en université, sont notés en fonction de leurs recherches et en aucun cas en fonction des résultats de leurs élèves".

22.40 > Les derniers panélistes passent à une vitesse grand V. Avant-dernière intervention d'une enseignante, qui travaille "50 heures par semaine" notamment en raison des taches administratives.

22.27 > L'émission a déjà largement débordé, elle devait se terminer à 22h00.

22.23 > "Il n'y a pas un métier qui a plus d'avenir que l'agriculture (...) La question de la sécurité alimentaire est absolument centrale (...) L'agriculture européenne est la seule qui respecte les règles de traçabilité (...) Chaque année nous essayons d'aider 7..000 jeunes agriculteurs (...) Il n'est pas question que nous acceptions le démantèlement de la PAC, que nous nous désengagions (...) Nous demandons que les agriculteurs puissent avoir des prix décents".

22.19 > "Il nous reste 20 minutes et on a 4 thèmes à aborder, merci d'être concis" annonce Jean-Pierre Pernaut. Place à Mickaël l'agriculteur.

22.17 > "Je refuse le silence sur lequel prospèrent les extrémistes (...) Un effort d'intégration par une maîtrise des flux migratoires est indispensable (...) Je n'accepterai jamais la régularisation massive des personnes qui n'ont pas de papier"

22.03 > Simone, médecin généraliste, interpelle le chef de l'Etat sur la pénurie de docteurs dans certaines régions françaises. Nicolas Sarkozy annonce des mesures pour encourager les nouveaux médecins à investir les régions pauvres. "On va encourager les maisons médicalisées et alléger toute la partie administrative qui pénalise le temps médical (...) Il faut changer le mode de rémunération aussi. Garder la rémunération à l'acte mais mieux rémunérer les médecins qui vont dans les régions où il y a peu de médecins" explique-t-il.

21.53> "La dépendance est un problème considérable. Une société se juge à la façon dont les enfants traitent les parents" explique Nicolas Sarkozy qui annonce de nouvelles mesures pour cet été comme l'augmentation des places en maison de retraite.

21.45 > Place au sujet de la dépendance avec le témoignage d'un nouveau panéliste.

21.37 > Le Figaro a bouclé sa Une avant même la fin de l'émission : "Le président protecteur" !

21.30 > Jean-Pierre Pernaut ouvre le chantier de l'emploi. Après un bilan des efforts faits pas le gouvernement, on l'interrompt "Mais je ne vous ai pas parlé de ça"...

21.20 > Première question sur les affaires. "Pour MAM et François Fillon, pas un centime d'argent public n'a été dépensé (...) Il n'y a là qu'une attitude courante (...) Mais l'époque a changé et je comprends que ça puisse choquer" explique Nicolas Sarkozy.

21.12 > Enfin, un panéliste se réveille, Mickaël, agriculteur : "Le libre marché n'est pas le seul moyen de développement".

21.00 > Place à Lionel, soudeur. "Les fins de mois sont très difficiles, je suis à découvert chaque mois" explique-t-il. Nicolas Sarkozy connait bien le dossier visiblement, en détaillant l'excellence française des chantiers de Saint-Nazaire. Il dénonce l'application de la loi sur les 35 heures : "Comme vous travailliez moins alors que d'autres ont travaillé plus, il y a eu un décrochage de la compétitivité en France".

20.58 > En 30 minutes d'interview, seulement deux interventions du panel.

20.56 > "Il y a 30..000 peines de prison qui ne sont pas appliquées, je ne peux pas accepter !" explique le chef de l'Etat.

20.48 > Jean-Pierre Pernaut interroge Nicolas Sarkozy sur les magistrats, en grève depuis quelques jours. "Je connais les magistrats, l'immense majorité des magistrats sont compétents et honnêtes (...) Je ne porte pas un jugement sur une profession dans son ensemble". Il rappelle les détails de l'affaire Laëtitia. "Quand il y a une défaillance de la justice, on doit le dire" explique-t-il. Après l'affaire Laëtitia, Nicolas Sarkozy fait un rappel de l'affaire Outreau. "Les Français se tournent vers moi. S'il y a eu dysfonctionnement, le responsable devra répondre dans le cadre des procédures" explique-t-il.

20.46 > Nicolas Sarkozy parle de l'insécurité depuis déjà 15 minutes.

20.42 > "Avant l'été, vous les Français, vous serez appelés une semaine par an à siéger vous même dans le tribunal correctionnel de votre département pour aux côtés des magistrats apporter une réponse et définir la sanction (...) La justice va être rendue par le peuple, les Français" annonce Nicolas Sarkozy.

20.38 > "On a pas réussi à endiguer le problème de la délinquance des mineurs et de l'hyper violence" explique le chef de l'Etat. Peu d'intéractivité pour l'instant entre Nicolas Sarkozy et les panélistes.

20.35 > Très bavarde, Fatiha réclame "une police plus proche des gens". "Ce que vous vivez, beaucoup de gens le vivent. Les gens ne comprennent pas pourquoi on peut se faire agresser dans un pays comme le nôtre" explique-t-il. "Je suis responsable de la sécurité des Français depuis 2002". Nicolas Sarkozy en profite pour faire son bilan en matière de baisse de la délinquance : "On a obtenu des résultats (...) La délinquance a baissé de 17%".

20.31 > Fatiha, pharmacienne, va parler des problèmes d'insécurité au président, son officine a été cambriolée quatre fois.

20.29 > Introduction de Nicolas Sarkozy sur les préoccupations des Français : "C'est le changement qui permettra de protéger la France (...) Je suis frappé de la capacité d'adaptation des Français (...) Il y a des inquiétudes, bien sûr, mais il n'y a pas eu de violence et c'est un grand changement".

20.28 > Nouveau plateau, nouvelle configuration pour ce nouveau numéro de Paroles de Français. Les panélistes sont plus proches les uns des autres.