Chaque dimanche à 19h, puremedias.com est partenaire des "Dessous de l'Ecran", l'émission médias de RTL. En studio hier pour recevoir un invité, Benoît Daragon, journaliste pour le site, aux côtés de Florence Cohen, qui animait cette semaine l'émission.
Cette semaine, Stéphane Rotenberg était l'invité de l'émission à l'occasion du retour de "Top Chef", dont la saison 7 démarre le lundi 25 janvier. Une saison dans lequel le rôle du jury va encore s'intensifier. "L'année dernière, on avait renversé la table puisqu'on avait changé le jury (avec l'arrivée d'Hélène Darroze, de Philippe Etchebest et de Michel Sarran, en plus de Jean-François Piège, ndlr). Et puis on avait changé leur emploi. Les premières années, ils étaient juste là pour déguster les plats à la fin des épreuves. Maintenant ils s'impliquent davantage", a expliqué l'animateur de M6.
"L'année dernière, on avait fait une épreuve qui s'appelait 'Qui peut battre Philippe Etchebest ?' où ce dernier avait accepté d'être face aux candidats, le temps d'une épreuve. Ca avait très très bien marché. On avait adoré l'idée et les candidats étaient impressionnés. (...) Donc on va refaire ça, les chefs sont toujours en cuisine et de temps en temps ils font une épreuve, parfois comme commis des candidats, parfois ce sont les candidats qui sont leur commis. (...) Les premières saisons, les projecteurs n'étaient braqués que sur les candidats. Désormais, les chefs partagent la vedette avec les candidats", a-t-il ajouté.
Stéphane Rotenberg a promis que la production faisait tout pour que les primes de "Top Chef" finissent entre 22h45 et 23h. "Les premières années, on était très long car ça permettait de récupérer des téléspectateurs en deuxième partie de soirée. Ce qui avait un effet mécanique sur les audiences. Aujourd'hui l'émission est connue donc on n'a plus besoin de cet effet-là". Enfin, l'animateur s'est justifié sur la faible présence de femmes dans cette septième saison (elles ne sont que 3 sur 16 participants).
"Les femmes ne représentent que 5% du métier. Chaque année, elles sont entre 10% et 15% du casting de "Top Chef" et on a deux gagnantes sur 6 saisons (Stéphanie Le Quellec et Naoëlle D'Hainaut), donc, en termes de parité hommes/femmes, on est plus représentatif que la profession", a-t-il déclaré avant d'ajouter. "Mais pour être honnête, dans notre pré-casting, il y a très peu de femmes. Quand on met des femmes qui ne sont pas au niveau, elles sortent très très vite. Donc tant pis. On reste dans une sélection exigeante. La faible présence de femmes est la réalité du métier, mais ça change. Dans les écoles hôtelières, il y a de plus en plus de femmes".
L'interview a été suivie d'un débat sur les séries préférées des Français.
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