Karine Le Marchand l'a promis : la saison 7 de "L'Amour est dans le Pré" sera celle des mariages ! Et l'émission de dating agricole de M6 a rempli son pari dès lundi avec le premier volet du "Que sont-ils devenus ?". Devant près de 5,8 millions de téléspectateurs, Jean-Claude, agriculteur de la saison passée, a demandé Maud, rencontrée pendant l'émission, en mariage. Une proposition acceptée par la compagne de l'agriculteur.
Mais derrière ces multiples mariages célébrés grâce à l'émission et aux bébés nés d'unions créées pendant ou après l'émission, certains candidats se sentent lésés. Parmi eux, Raphaël, prétendant de Karine lors de la saison 6. Sur les réseaux sociaux, les internautes s'étaient déchaînés contre lui. Arrivé avec un pull vert, celui qui a été surnommé Cetelem a vite été accusé de goujaterie envers la candidate. A l'époque, la presse people avait d'ailleurs révélé que Raphaël n'était pas célibataire lorsqu'il est allé chez Karine.
Interrogé cette semaine par Public, le prétendant se montre très remonté contre la production de "L'Amour est dans le Pré" et contre la chaîne. "Je suis toujours célibataire et j'ai mauvaise réputation. M6 a pourri ma vie" lance celui qui confie avoir perdu son emploi à l'issue de l'émission. "Sachez que ce programme est scénarisé à 90% ! Karine était là pour faire de la publicité pour son haras. Moi, je devais jouer le prétendant. J'ai été un comédien bénévole pour M6 !" avance-t-il.
"Et puis, rien n'est monté dans l'ordre. Ce n'est pas mal fait. Les équipes de montage sont très fortes. Mais, aujourd'hui, je n'ai que des ennuis" poursuit Raphaël. Quant à son projet de chronique dans l'une des émissions de la chaîne, l'ancien prétendant de Karine déclare que tout cela est tombé à l'eau. "Après la diffusion de L'Amour est dans le Pré, je n'ai plus eu de nouvelles. Ils s'en foutent complètement et ne répondent pas à mes appels" explique Raphaël, très énervé. "J'ai le sentiment de m'être bien fait avoir !" regrette le candidat qui n'était pas passé à côté d'un coup de pub dans la presse l'an passé...