"Clem" : Lucie Lucas de retour pour une saison 11 dès ce soir sur TF1

Nouvelle saison en vue pour l'ancienne ado en crise de la première chaîne. Lucie Lucas, interprète depuis 2010 de Clémentine Boissier dans la série "Clem" de TF1 reviendra pour une 11e saison à compter de ce lundi en prime time. Programmée quelques mois seulement après la saison 10, cette nouvelle salve de six épisodes s'annonce davantage axée sur la comédie. Les piliers que sont Agustin Galiana, Carole Richert et Jean Dell sont toujours là, tout comme le comédien qui joue le fils de Clem : Thomas Chomel, alias Valentin.

L'héroïne, célibataire depuis sa rupture avec Fred, est désormais assistante juridique dans le cabinet de Nathalie (Christiana Réali). Elle va faire la connaissance d'un nouveau venu à Cheynouville, Mathieu (Loup-Denis Elion). De son côté, Adrian (Agustin Galiana) a pu récupérer son poste de proviseur et a offert une place de surveillante à Amélie (Karina Testa), la collègue de Clem. Enfin, Valentin entre en terminale avec Izia (Lily Nambininsoa) et nourrit déjà des projets pour l'après-bac. Mais son ex, Clara (Marion Seclin) va lui annoncer une nouvelle qui va tout changer pour lui.

Un petit nouveau intègre donc la bande de "Clem" en la personne de Loup-Denis Elion, bien connu des fans de "Scènes de ménages" sur M6. L'homme incarnera un avocat déroutant, très proche de Clémentine. "C'est en fait un personnage plein de surprises qui essaie toujours de sortir un peu des lignes, que ce soit dans son travail ou dans sa vie personnelle. Il semble sans limites, ce qui lui pose parfois des problèmes. J'adore la liberté qui se dégage de ce personnage", s'enthousiasme Loup-Denis Elion dans le dossier de presse de présentation.

En moyenne et en audience veille, la saison 10 de "Clem" avait réalisé une mauvaise performance sur TF1 à la rentrée dernière. Les épisodes avaient été suivis par 2,81 millions de personnes. Faible, la part d'audience 4+ s'était élevée à 13,2%, tandis que la part de marché sur la cible commerciale principale faisait mieux, à 21,5% sur les femmes responsables des achats de moins de cinquante ans.