Les influenceurs ne sont définitivement pas fans de "Quotidien". Vendredi 14 avril, le chroniqueur Nicolas Fresco a dédié sa chronique a la créatrice TikTok "Soneeeeel", une vidéaste qui apprend les bonnes manières à ses 600.000 abonnés grâce à des conseils dans des vidéos courtes. Grâce à sa spécialité, le chroniqueur a estimé qu'elle était "de la haute", "ceux qui sont plus château en Touraine que villa à Dubaï" avant de plaisanter sur sa "formation d'élégance option mépris".
Ces propos ont visiblement blessé l'intéressée. Dans une vidéo partagée dimanche soir sur TikTok, elle a répondu avec gravité à la séquence de la fin de semaine. "Il est temps de parler de la chronique de 'Quotidien' qui a cherché à m'humilier. Déjà, le contexte, parce qu'il ne faut pas oublier quand même que je suis humaine, j'ai peut-être 650.000 abonnés mais je reste un humain", a-t-elle débuté avec une mise en scène plus sobre qu'à l'accoutumée.
Au départ, elle a apprécié savoir qu'elle était passée à la télévision. "Au début je me suis dit, 'cool', après j'ai regardé, et en fait, c'était une chronique humiliante. On a cherché clairement à m'humilier (...) ils ont bien réussi leur coup", déplore la jeune femme sur le réseau social.
La créatrice a ensuite comparé sa situation à du harcèlement scolaire. "Tu sais quand quelqu'un à l'école cherche à t'humilier devant toute la classe. Imagine qu'il s'agisse d'un journaliste à la TV, un JT, à 20H, qui cherche à t'humilier devant toute la France". Elle a ensuite accusé Nicolas Fresco d'avoir tordu ses vidéos et répandu "beaucoup de mensonges" sur sa personne.
Au départ, elle ne comptait pas réagir à la séquence pour éviter d'y donner de la lumière: "Ils ('Quotidien') gagnent de l'argent sur la haine qu'ils diffusent, et moi je ne veux pas ça". Au final, elle trouve la chronique ratée car, en plus de contenir "des choses fausses", elle estime qu'elle n'a en plus fait rire personne. Son souhait est désormais que Nicolas Fresco "dégage".
C'est lui-même qui s'est retrouvé au coeur d'une situation assez difficile il y a quelques semaines. Le chroniqueur avait dédié sa chronique aux influenceuses Polska et Tootatis, une séquence taxée de "misogynie". Quelques jours après la "polémique", l'intéressé était revenu sur la séquence de manière plutôt sobre, mais annonçant qu'il reprendrait très vite son ton habituel et son second degré. Visiblement, ça ne passe toujours pas.