"Malotru", "Moule à gaufres" et "Phénomène" reprennent du service. Dans un communiqué publié aujourd'hui, le groupe Canal+ annonce le lancement demain 7 février du tournage de la saison 4 du "Bureau des légendes". Ce dernier devrait durer quatre mois pour une diffusion de la nouvelle saison prévue au début de la saison 2018-2019 sur Canal+.
Le créateur de la série, Eric Rochant, restera le showrunner de la fiction dont la réalisation principale a été confiée à la cinéaste Pascale Ferran ("Bird People", "Lady Chatterley", "L'Age des possibles"). Côté cast, Mathieu Kassovitz sera de retour, tout comme Sara Giraudeau, Artus, Florence Loiret Caille ou encore Jonathan Zaccaï. "Le bureau des légendes" (BDL) accueille cependant un nouvel acteur, et non des moindres : Mathieu Amalric. Ce dernier interprétera le rôle de "JJA, le directeur de la sécurité interne de la DGSE".
Selon le communiqué de Canal+, voici les grandes arches narratives de cette quatrième saison : "Traqué par la CIA et la DGSE, Malotru s'est réfugié à Moscou. Mais la tranquillité ne dure pas, et il se trouve bientôt contraint de collaborer avec les services secrets russes. À Paris, le BDL est dans le viseur de JJA, le nouveau directeur de la sécurité interne de la DGSE. JJA est convaincu qu'il faut nettoyer le 'Bureau des Légendes', resté trop longtemps sous l'emprise de Malotru. La nouvelle directrice du BDL, Marie-Jeanne, lance par ailleurs une mission de grande ampleur : envoyée dans un prestigieux centre de recherche russe, Marina a pour objectif de recruter une source parmi les spécialistes de l'Intelligence artificielle qui travaillent sur le campus".
Par ailleurs, un "jeune geek de la DGSE, César, s'apprête lui aussi à partir sur le terrain en Russie où s'ouvre un nouveau front : celui de la cyber guerre. En parallèle, Jonas, l'analyste Syrie, est chargé de retrouver les djihadistes français les plus dangereux après la défaite de Daech. Sa quête le fait traverser un Moyen-Orient en ruine. À Mossoul, Rakka ou Damas, il est confronté à la terrible réalité des terrains de guerre".