Un peu d'humour pour apaiser les tensions. Depuis une semaine, le clash opposant Inès Reg et Natasha St-Pier dans "Danse avec les stars" sur TF1 fait la Une des médias spécialisés et agite les réseaux sociaux. Il faut dire que les deux candidates du show présenté par Camille Combal ont chacune utilisé les réseaux sociaux pour se défendre de leurs accusations.
Une actualité qui a inspiré Charline Vanhoenacker dans la matinale de France Inter ce jeudi 28 mars 2024 : "Tout le monde ne parle que de ça pour dire que tout le monde s'en fout. Vous avez vu le nombre d'articles là-dessus ? Résultat, Askolovitch a fait un burn-out. Donc, je m'y colle !". "Apparemment, l'affaire partirait d'une blague de Natasha St-Pier qui serait mal interprétée. Natasha St-Pier est un petit peu la Guillaume Meurice de TF1", a-t-elle blagué, en référence à la polémique autour de la blague du trublion sur Benjamin Netanyahu, qui lui a valu une convocation au commissariat.
"Voilà plusieurs jours que la France est divisée entre deux types de personnes. Les 'Inès Regien' d'un côté. Les 'Natasha St-Pierriste' de l'autre. C'est explosif ! Il ne manquerait plus qu'Aya Nakamura s'en mêle et on casse internet. Bref, il y a deux camps irréconciliables. Même la Nupes est choquée !", a enchaîné la comique du jeudi matin. Et de poursuivre : "Ce clash-là, seul Gilles Kepel pourrait le démêler ! Et là, je récupère l'auditeur de la matinale d'Inter. On pourrait même organiser un débat entre Gilles Kepel et Nikos Aliagas".
Charline Vanhoenacker a rappelé que "l'affaire n'est pas claire" : "D'aucun réclame l'ouverture d'une commission d'enquête à l'Assemblée. Même si en ce moment les députés sont occupés à emmerder Yann Barthès". "On a tous peur que le conflit Reg/St-Pier dégénère et qu'Emmanuel Macron menace d'envoyer des troupes au sol à TF1. Pour l'instant, la solution, ce serait la création d'un couloir humanitaire afin d'évacuer les autres candidats", a blagué la comique. Et de lâcher : "Mais que fait BHL ? Parce que personne ne fait rien ! Pour l'instant, l'ONU, c'est Camille Combal !".
"La seule bonne nouvelle, c'est que les femmes n'ont plus besoin des hommes pour être victimes de violences. C'est un progrès. Enfin, pour sortir de l'impasse, Inès Reg et Natasha St-Pier répètent dans deux salles différentes et éloignées. Comme quoi, la solution à deux Etats, c'est pas compliqué à mettre en place", a conclu Charline Vanhoenacker. puremedias.com vous propose de visionner la séquence.