Retour dans "On n'est pas couché" pour Nicolas Bedos. Le chroniqueur a livré hier dans le late show de Laurent Ruquier sur France 2 une deuxième chronique enlevée, revenant largement sur ses mésaventures de la semaine écoulée. Rappelons que, mardi dernier, la police parisienne a procédé à une arrestation mouvementée du comédien pour conduite en état d'ébriété de son scooter.
Pour sa deuxième chronique, Nicolas Bedos a ainsi choisi d'arriver encadré par deux gardiens de la paix qui sont restés dans son dos durant toute son intervention. Aussi goguenard qu'à son habitude, l'acteur a commencé sa chronique en attaquant bille en tête une institution policière qu'il n'a jamais portée dans son coeur. Moquant une nouvelle fois la police française, il a déclaré qu'il y avait sans doute "des flics formidables" mais qu'il n'en avait "jamais rencontrés" pour l'instant. Dépeignant des policiers sans doute tout aussi amateurs que lui d'excès alcoolisés et ce, en toute impunité, il a lancé : "un flic qui boit n'est pas un délinquant, c'est un pléonasme".
Nicolas Bedos a ensuite entamé un récit délirant de ses quinze heures de garde à vue au commissariat du deuxième arrondissement de Paris. Revenant sur sa chute à l'arrêt de son scooter, il a vanté son panache de ne pas avoir choisi de commander un taxi ce soir-là. Dans sa cellule de dégrisement imaginaire se sont croisés des hommes politiques, des stars du showbiz ou encore un "travelo brésilien" un peu trop entreprenant. Convoqué prochainement devant la justice, Nicolas Bedos a estimé que la pire peine encourue ne pouvait être que d'avoir à vivre pendant plusieurs semaines sous la tutelle du trop sage Aymeric Caron.
Sous ses airs d'auto-satisfait, le chroniqueur a cependant tenu à rappeler au public la stupidité de son comportement ce soir-là. Terminant sa chronique dansant enlacé contre un des policiers l'accompagnant sur le plateau, il a fini par l'embrasser en signe de réconciliation. Avant de conclure son intervention, plus grave : "Ne l'oubliez jamais. En conduisant alcoolisé, on peut gâcher sa vie ainsi que celle des autres. J'ai fait une grosse connerie. Et ça, pour le coup, ce n'est pas de la télé". puremedias.com vous propose de revoir la chronique de Nicolas Bedos.