De nouveaux bouleversements en vue dans la vie de Sam. L'héroïne de TF1 incarnée par Natacha Lindinger dans la série éponyme, est de retour dès ce soir, à 21h05, avec le lancement d'une nouvelle saison composée de huit épisodes produits par Authentic Prod. S'il s'agit de la saison 4 pour cette série adaptée du format danois "Rita", ce n'est que la troisième pour Natacha Lindinger, qui a succédé à Mathilde Seigner dès 2018 dans le rôle principal et sera prochainement à l'affiche d'"OSS 117 : Alerte Rouge en Afrique Noire" au cinéma. Après avoir vaincu un cancer la saison précédente, l'héroïne va de nouveau être mise en difficulté après ses retrouvailles avec Antoine (Thomas Jouannet), son ami d'enfance, qui n'est autre que le père d'une de ses élèves.
Cette rencontre va replonger Sam des années en arrière et permettre aux téléspectateurs de la découvrir adolescente et de comprendre comment elle est devenue la femme au caractère bien trempé d'aujourd'hui. Mais pas seulement. "Leurs chemins se sont séparés à cause d'un drame et, depuis, Sam ne lui a jamais donné de nouvelles. Et c'est à travers des flash-backs que les téléspectateurs en apprendront plus sur cette histoire", explique Natacha Lindinger sur le site de TF1 à propos de sa relation avec le personnage d'Antoine. Sam est incarnée adolescente par la jeune Luna Lou ("Marianne" sur Netflix, "Faites des gosses" sur France 2) tandis qu'Armelle Deutsch prête ses traits à sa mère.
Pendant ce temps, Xavier (Fred Testot), redevenu principal du collège George-Sand, s'installe en colocation avec l'ancienne principale Véronique (Fanny Gilles) et sa fille. "Elle devait être mutée mais il n'en est rien. Elle va alors se retrouver sans travail et sans domicile. Xavier lui propose de rester chez lui avec sa fille pour quelques jours et forcément, ils vont se rapprocher...", révèle Fred Testot, dont le personnage va par ailleurs apprendre qu'il a été adopté.
En 2018, en moyenne et en audience consolidée, les huit épisodes de la saison 3 de "Sam" avaient réuni 4,50 millions de fidèles, pour une part de marché de 20,0% auprès de l'ensemble du public et de 28,0% auprès des femmes responsables des achats âgées de moins de cinquante ans selon Médiamétrie.