Une réponse on ne peut plus transparente. Aurélie Casse et ses complices accueillaient, samedi 9 mars dans "C l'hebdo", le préfet de police de Paris Laurent Nuñez, les acteurs Mathieu Kassovitz et Ludivine Sagnier , ou encore l'infectiologue Jérémy Zeggagh.
Nikos Aliagas, qui était aussi invité dans le talk-show hebdomadaire de France 5 pour promouvoir son livre "L'Esprit grec", a eu droit à plusieurs questions au cours de son interview. La chroniqueuse Eva Roque a ainsi demandé : "The Voice" a repris depuis quelques semaines. Est-ce qu'il n'y a pas une lassitude ? C'est la treizième saison de "The Voice". Est-ce que parfois il n'y a pas une lassitude à présenter ces formats ?".
Celui qui est également à la tête de nombreux divertissements sur la Une comme "Star Academy" ou "La chanson secrète" a choisi de jouer la carte de la franchise. Il a expliqué : "Je ne vais pas faire celui qui dit : "Mais non, c'est génial". Evidemment, je connais le format par coeur. Mais l'époque change et les candidats qui passent ne sont jamais les mêmes...".
Avant de poursuivre aussitôt : "C'est eux qui changent, qui changent le programme, qui donnent le ton. C'est-à-dire qu'il y a encore quelques années, tu n'invitais pas naturellement sur un plateau de télévision, une émission de variétés, un garçon qui disait : "Voilà, je suis venu avec mon mari, mes enfants". Et qui chante avec des talons aiguilles rouges. Encore une fois, ce n'est pas accessoire. Ce n'est pas un alibi chez nous de dire : "On a aussi ça". C'est la réalité d'aujourd'hui. Il arrive et il a sa place chez nous."
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Et Nikos Aliagas de conclure : "En ce sens, on a aussi un petit rôle à jouer. Un petit rôle ! Ce n'est pas un rôle moral, c'est peut-être un petit rôle éthique. Différence entre morale et éthique, il faut une vie pour le comprendre".
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