Politique
Charline Vanhoenacker et Guillaume Meurice se paient la communication d'Emmanuel Macron
Publié le 1 février 2017 à 10:17
Par Florian Guadalupe | Journaliste
Passionné de sport, de politique et des nouveaux médias, Florian Guadalupe est journaliste pour Puremédias depuis octobre 2015. Ses goûts pour le petit écran sont très divers, de "Quelle époque" à "L'heure des pros", en passant par "C ce soir", "Koh-Lanta", "L'équipe du soir" et "La France a un incroyable talent".
Pour leur billet de 7h57, les deux comédiens ont parodié les communicants du candidat à la présidentielle.
Charline Vanhoenacker et Guillaume Meurice face à Emmanuel Macron © Dailymotion
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France Inter version XXL. Ce matin, Patrick Cohen a présenté une formule de sa matinale plus longue pour son invité exceptionnel, Emmanuel Macron. Ainsi, tout au long de la campagne présidentielle, la radio du service public recevra les candidats à l'Elysée dans ce format plus élargi, afin de faire réagir les politiques aux différentes thématiques de l'actualité.

"Les machines à laver ont plus de programmes que toi !"

Mais comme chaque jour, Charline Vanhoenacker est venue en studio lire son billet quotidien face à l'invité du jour. Accompagnée par son comparse Guillaume Meurice, la comédienne belge a parodié l'équipe de communication de l'ancien ministre de l'Economie, présentant le duo comme Clem et Jean-Mat' de l'agence Win-Win. "Manu, c'est la mi-temps du 7/9, jusque là, t'as été excellent !", a-t-elle lancé, avant que l'autre humoriste poursuive : "Première heure nickel, t'as évité le piège crypto-marxiste de Thomas Legrand. Bien joué, c'est malin de ne pas avoir parlé du financement par le Liban, sinon Salamé, elle aurait perdu les eaux."

"En plus, t'es resté dans la maîtrise de l'agenda. Tu sais, demain, je vais annoncer que dans quelque temps, il est possible que je prenne la décision de présenter un programme", s'est moquée Charline Vanhoenacker avant d'évoquer une campagne de pub (fictive) sur laquelle elle et son comparse auraient travaillé un an plus tôt. "L'an dernier, on a bossé sur une campagne sur des machines à laver", a commencé la Belge, suivie par son acolyte : "Et les machines à laver, elles ont plus de programme(s) que toi !".

"T'es le candidat des banques, pas des branques !"

"On a un souci Manu, le soutien d'Alain Minc. Le mec, il a soutenu Balladur, Jospin, DSK, Juppé, ce n'est pas un économiste, c'est Paco Rabanne. Il faut absolument s'en débarrasser, t'es le candidat des banques, pas le candidat des branques !", a ajouté Guillaume Meurice. puremedias.com vous propose de découvrir le sketch diffusé ce matin sur les ondes de France Inter.

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