Avant-première puremedias.com Il y a un an jour pour jour, le 27 février 2014, "Le Point" lâchait la bombe Bygmalion qu'il présentait à l'époque comme "L'affaire Copé", avec comme surtitre : "Sarkozy a-t-il été volé ?". Douze mois plus tard, après la démission de Jean-François Copé de la présidence de l'UMP, Jérôme Lavrilleux assure dans une interview à Paris Première que "plus personne" ne croit aujourd'hui à la thèse avancée par l'hebdomadaire.
"La Une du Point disait que l'affaire dite Bygmalion c'était quelque chose organisé par Jean-François Copé pour détourner de l'argent et s'organiser un trésor de guerre pour l'élection présidentielle de 2017, explique-t-il ce soir dans l'émission "Zemmour & Naulleau". C'était la seule thèse, plus personne ne la soutient ! Qu'il s'agisse des journalistes ou des enquêteurs ou les juges d'instruction !".
Comprenez que l'affaire Bygmalion/Copé est devenue une affaire Bygmalion/Sarkozy. Ou plus exactement, selon Jérôme Lavrilleux, "l'affaire des comptes de campagne de 2012". Dans cette longue interview diffusée ce soir à 22h50, le député européen revient aussi sur la responsabilité des différents leaders de l'UMP dans l'affaire Bygmalion et livre son regard sur le parti dont il a été exclu.
"Zemmour et Naulleau" sur Paris Première.
Ce soir à 22h50.