Les playlists de certaines personnalités du PAF peuvent réserver bien des surprises. Notamment celle de Laurence Ferrari. Cette semaine, la présentatrice du "Grand 8" sur D8 et de "Tirs croisés" sur iTELE accorde une interview à nos confrères du Parisien Magazine sur ses goûts culturels. Et surprise, Laurence Ferrari est friande de... rap ! "Mon mari, le violoniste Renaud Capuçon, a beau faire de la musique classique... Moi, j'aime le rap français !", confie l'ex-présentatrice du 20 Heures de TF1.
Et côté rap, Laurence Ferrari apprécie particulièrement la Sexion d'Assaut et son leader, Maître Gims. "Grâce à eux, j'ai découvert que le rap n'était pas qu'une musique violente et colérique. Il y a une forme de poésie dans leurs paroles, une musicalité qui me touche", indique-t-elle, confiant à l'inverse ne pas apprécier les Beatles. "Je le dis très peu, parce que je sais combien ce groupe compte de fans hystériques, mais ça ne fonctionne pas avec moi. Je n'ai jamais apprécié, et pourtant j'aime la musique anglaise !", avoue-t-elle.
Son désamour du groupe de John Lennon et Paul McCartney va même jusqu'à arrêter la radio en cas de diffusion. "Chaque fois que j'entends les Beatles, je coupe le son, c'est horrible. Pour moi, ce sont des tubes qui ont été usés, tout simplement", lâche Laurence Ferrari. Autre emblème de la culture populaire auquel la journaliste n'adhère pas : "Friends" et plus globalement les séries culte des années 90. "Les faux rires qu'on entend quand il y a un gag, le côté 'fabriqué'... (...) En tant que professionnelle de la télé, je vois tous les artifices et les tics d'écriture. Cela doit être pour ça", se justifie-t-elle.
Enfin, côté cinéma, Laurence Ferrari préfère "Godzilla" et surtout les sagas pour adolescents au "Père Noël est une ordure". "Je sais que je suis censée préférer les films d'auteur français, pour briller en société, mais je m'amuse beaucoup plus devant les grosses productions américaines", déclare-t-elle, citant "Twilight", "Hunger Games" et "Divergente". "Je suis accro aux cascades, aux effets spéciaux...", ajoute la présentatrice qui se considère comme "une éternelle adolescente".