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"Les espions de la terreur" : Avec sa nouvelle mini-série évènement, M6 propose une plongée au cœur de la traque des terroristes du 13 novembre
Mis à jour le 12 novembre 2024 à 16:30
Publié le 27 octobre 2024 à 14:49
Par Bruna Fernandez | Journaliste
Née à l’époque des “Inconnus”, Bruna grandit entre le Brésil et la France. Enfant, elle enrichit son imaginaire devant le grand et le petit écran. Devenue journaliste, elle passe derrière la caméra et travaille pour plusieurs émissions. Un petit monde qu’elle se plaît à décortiquer pour puremedias.
Inspirée de faits réels, la fiction diffusée à partir de ce mardi 12 novembre met en scène Rachida Brakni, Fleur Geffrier, et Vincent Elbaz, dans la peau des espions engagés dans la traque des responsables des attentats de 2015.
La bande-annonce des la mini-série "Les Espions de la terreur" © M6
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C’est une soirée que personne n'a oubliée. M6 diffuse à partir de ce mardi 12 novembre "Les espions de la terreur", adaptée du livre éponyme de Matthieu Suc. Réalisée par Rodolphe Tissot et créée par Franck Philippon, mettant en scène Rachida Brakni, Fleur Geffrier, Vincent Elbaz et Pierre Perrier, cette mini-série de quatre épisodes (52 minutes chacun) raconte l'enquête intense menée par les services secrets français après les tragiques attentats du 13 novembre 2015. 

Un récit au plus près de la réalité

À travers les yeux de Lucie (Fleur Geffrier), agent déterminée de la DGSI, de Malika, analyste chevronnée de la DGSE, et de Vincent, major à la DGSI territoriale de Lille, la série plonge le public dans la réalité du travail des agents, soumis à une pression insoutenable. Lucie se bat pour faire avancer l’enquête, même contre l’avis de sa direction, tandis que Malika (Rachida Brakni) utilise son expertise pour analyser des informations cruciales. Vincent (Vincent Elbaz), quant à lui, tente de convaincre sa hiérarchie de recruter une nouvelle source, surnommée "Minotaure", pour infiltrer le djihadisme français. 

La série s’engage à offrir une représentation authentique des événements qui ont suivi le 13 novembre, entre traque des terroristes et menaces de nouvelles attaques. Le récit s’ouvre sur le soir même des attentats, exposant la déflagration psychologique sur les agents des services secrets alors confrontés à l'urgence d'une réponse immédiate, et dont le travail reste inconnu du grand public. "Les espions de la terreur" s'intéresse également à la face cachée de la lutte anti-terroriste, alors que les émotions et aspirations personnelles viennent brouiller la vision de ces agents, parfois en conflit avec leur engagement professionnel.

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En complément de la série, un documentaire inédit sera diffusé, en deuxième partie de chaque soirée, permettant de découvrir des aspects encore plus profonds de l’enquête. Le premier épisode, intitulé "Au cœur des services secrets de l’État Islamique" et réalisé par Pierre-Olivier Labbé, se penche sur l’Amniyat, les services secrets de l’État Islamique, offrant une perspective inédite sur les mécanismes qui ont conduit aux attentats. Il sera diffusé ce soir à 23h20. 

Puis, le 19 novembre à 23h20, un deuxième documentaire intitulé "Opération Apagan, exfiltrer Kaboul" sera également diffusé. Réalisé par Bernard George, ce film bouleversant retrace le vaste plan mené par la France pour exfiltrer non seulement ses ressortissants, mais aussi une multitude d’artistes, de dissidents politiques et de simples citoyens afghans dont la vie est menacée par le retour des Talibans au pouvoir. Grâce à des témoignages poignants et à des images inédites de l’armée française, le documentaire présente cette opération de la dernière chance, racontée de l’intérieur par ceux qui l’ont vécue. 

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