Avant-première. Ses détracteurs lui ont souvent reproché d'en abuser. Nicolas Bedos, auteur, écrivain, comédien, chroniqueur, fils de et médiatiquement omniprésent depuis deux ans, se confie sur le sujet dans "Grand Public", ce soir à partir de 23h15 sur France 2. "Je ne vais pas rentrer dans les détails mais ma vie est un cimetière psychiatrique à cause de la coke et de l'alcool", explique-t-il, prenant l'exemple de son "ami" Nicolas Rey, "qui se décrivait lui-même comme une sorte de mort-vivant à un moment donné".
"C'est assez surprenant pour ceux qui sont persuadés que je m'en mets plein le pif mais je suis l'une des personnes qui déteste le plus la cocaïne et, je trouve, qu'on devrait surtout dire pourquoi ce n'est pas bien. Je ne connais personne qui prend de la coke régulièrement et qui à un moment donné, ne m'a pas appelé ou dont je n'ai pas appris qu'elle venait de s'effondrer, en parfois ne faisant pas le lien avec sa consommation de cocaïne", explique-t-il.
Puis Nicolas Bedos poursuit, exemple à l'appui, face à Aïda Touihri: "On ne peut pas réveiller les neurones avec de la dopamine en barre sans ensuite payer un tout petit peu la violence que l'on vient de leur infliger. C'est comme si je vous offrais 16 orgasmes et que je disparaissais pendant un an et demi...". C'est la première fois que Nicolas Bedos évoque publiquement ce problème. Lors de son dernier clash avec Tristane Banon par médias interposés, l'auteure l'avait taclé à ce sujet : "Puisque tu as l'air de t'en inquiéter, je te rassure, je mange autant que tu sniffes, c'est dire si je suis plutôt loin de l'anorexie. Déjeunons puisque tu le souhaites, mais alors sois chic, choisis-nous au moins une bonne adresse !".