Roselyne Bachelot s'emporte. Hier matin, Laurence Ferrari et les chroniqueuses de son "Grand 8" sur D8 sont revenues sur la vaste campagne de promotion de Valérie Trierweiler à l'étranger pour lancer son best-seller, "Merci pour ce moment", traduit en onze langues. L'ex-Première dame a ainsi fait la Une du Times Magazine, accordé un entretien de six minutes au "Andrew Marr Show" et répondu notamment aux questions de la presse italienne. A chaque fois, Valérie Trierweiler ne fait pas de cadeau à François Hollande, l'attaquant notamment sur sa politique.
Si cette campagne de promotion déplaît dans l'ensemble au milieu politique, elle a réussi à séduire Roselyne Bachelot. Profitant d'une réponse d'Audrey Pulvar, qui doutait de "l'argument de reconstruction" de l'ex-Première dame au vu de l'intense campagne de promotion débutée ce week-end, la chroniqueuse a immédiatement rebondi. "C'est très bien, c'est un très bon argument pour la défendre ! Quand on s'est comporté vraiment vis-à-vis d'elle d'une telle façon..." a commencé Roselyne Bachelot.
"Moi, je n'oublie pas la façon dont on l'a répudiée. Eh bah eh... Elle dit qu'elle ne se venge. Eh bien, elle a bien raison de se venger ! Voilà ! C'est quand même une vengeance ! Quand on a un salaud..." a poursuivi Roselyne Bachelot, provoquant l'hilarité sur le plateau. "Euh, quelqu'un qui s'est comporté dans ce sujet de cette façon, on se venge, ouais !" s'est reprise Roselyne Bachelot, affirmant que "le mot a dépassé (sa) pensée". puremedias.com vous propose de revoir cette séquence.