C'est l'heure du grand déballage pour "Le Grand Journal de Canal+". Et après Ollivier Pourriol dans son livre "On / Off" (éditions du Nil) - dont puremedias.com a publié les bonnes feuilles la semaine dernière -, c'est au tour de son ancienne collègue, Solweig Rediger-Lizlow, miss météo de la saison 2011-2012, de dénoncer les coulisses de l'émission animée par Michel Denisot. La jeune femme a en effet publié sur les réseaux sociaux une photo, où elle pose aux côtés d'Ollivier Pourriol et de son fameux livre.
En légende, "N'étant la serpillière d'aucune chaine de TV, je ne peux que vous dire : Foncez l'acheter ! Une année de calvaire parfaitement retranscrite, et encore... Je le trouve assez gentil". Dans les commentaires sur Facebook, la demoiselle précise le fond de sa pensée. "Le mot famille est sûrement le mot le plus mal choisi pour décrire ce milieu" écrit-elle à une personne qui s'interroge sur la fameuse "grande famille de la télévision". A un autre, Solweig Rediger-Lizlow raconte être libre depuis son départ du "Grand Journal de Canal+".
"Ma vie a tellement plus de saveur depuis que je n'ai plus à obéir au doigt et à l'oeil à ces individus... Alors non, franchement aucune rancoeur. Je fais enfin ce qui me plaît et comme je l'entend" explique-t-elle. "En suite logique de mon poste de miss météo, j'ai refusé toutes les émissions TV, projets cinémas de comédies bien grasses qui m'ont été proposé. J'accorde bien plus d'importance à la liberté qu'à la célébrité" poursuit celle à qui Doria Tillier a succédé en septembre dernier.
Quant au livre d'Ollivier Pourriol, Solweig Rediger-Lizlow indique sur Twitter le trouver "réaliste, juste et vrai" tandis que sur Facebook, elle précise qu'il a été "réalisé sans trucages". "Mais de mon côté j'ai vu, entendu, été spectatrice et subi parfois pire" précise la jeune femme. Des critiques qui viennent donc s'ajouter à celles d'Ollivier Pourriol, publiées dans le livre "On / Off" et confirmées dans un entretien à Télérama.
"Dans cette grande machine à laver le cerveau qu'est Le Grand Journal, je me suis retrouvé dispersé, psychiquement atomisé, désintégré", explique-t-il. Ollivier Pourriol assure n'avoir pris aucune note au cours de cette première expérience télé. "Les conversations entre les personnes de l'équipe étaient assez rares pour qu'on s'en souvienne et les propos tenus tellement hallucinants qu'ils se sont gravés dans mon cerveau", assure-t-il.