Il prend la défense de son ancien camarade de studio. Ce lundi 13 mai 2024, Alex Vizorek a évoqué dans "RTL Bonsoir" la suspension d'antenne de Guillaume Meurice sur France Inter. Pour rappel, le comique belge était encore l'année dernière à l'antenne du service public, aux côtés du trublion connu pour ses micro-trottoirs et Charline Vanhoenacker. Après l'annonce de la fin de sa quotidienne sur France Inter, l'humoriste a pris la décision de rejoindre la station du groupe M6.
Celui qui co-anime "En bande organisée" sur France 2 avec Philippe Caverivière a tenu à revenir hier soir sur l'éviction de Guillaume Meurice après que celui-ci a répété sa blague sur Benyamin Netanyahou. "Je continue à suivre l'actualité, notamment les trois grands conflits. Israël et Palestine, Russie et Ukraine, et France Inter et France Inter. C'est un conflit interne. C'est une tragédie. Ils se disputent dans la même famille. C'est un genre de 'Roméo et Juliette' consanguin, sauf que je ne suis pas certain que Guillaume Meurice ira sous le balcon de Sophia Aram", a-t-il commencé. Et d'ajouter : "Il viendrait sous sa fenêtre jouer de la musique pour se faire pardonner et elle lui lancerait à la gueule ses vieux exemplaires de 'Charlie hebdo' que vraisemblablement elle ne lit plus beaucoup".
"En tout cas, je tiens sincèrement à vous remercier RTL de m'avoir offert comme ça l'asile humoristique juste à temps ! Vraiment ! Merci à la direction de m'avoir arraché aux Atrides radiophoniques pour m'offrir une famille que je qualifierais de plus équilibrée. Bon, il y a quand même Philippe Caverivière dans la famille, mais dans toutes les familles, il y a toujours un enfant qui a été bercé trop près du mur !", a plaisanté Alex Vizorek.
Et de lancer à la surprise générale dans le studio : "Avant de changer de sujet, je voudrais avoir une petite pensée émue pour Jonathan Curiel. C'était un type haut placé dans l'organigramme du groupe M6 RTL qui a décidé, après 15 ans chez nous, d'aller tenter une nouvelle aventure en devenant le numéro 2 à France Inter, il y a pile un mois". "Je pense qu'il n'est pas déçu du voyage le garçon ! C'est un peu le type qui est en mars 1912 se dit : 'Tiens, il reste une cabine en 1ère classe sur le Titanic, ce serait quand même con de rater ça'", a-t-il lâché. puremedias.com vous propose de visionner la séquence.