Les larmes de l'influenceuse. Hier soir, dans "Touche pas à mon poste" sur C8, Cyril Hanouna et ses chroniqueurs ont évoqué différentes affaires touchant des stars du web, accusées de faits de maltraitance, dont notamment Amandine Pellissard et Kenza Poupette. Cette dernière est visée par une enquête pénale portant sur "des faits qualifiés de soustraction par le parent d'un enfant mineur sans motif légitime à ses obligations légales compromettant sa santé, sécurité, moralité ou son éducation".
Après avoir lancé un magnéto, contextualisant les deux situations pour les influenceuses, Cyril Hanouna a été surpris en voyant son téléphone sonnait et que Kenza Poupette, qui a fait l'objet du débat du jour, l'appelait. "On n'est pas au même niveau. Ne m'associez pas à ce genre de choses", a-t-elle lancé d'entrée au présentateur, au sujet du parallèle avec Amandine Pellissard. "Alors, là, tu m'appelles. Qu'est-ce qui se passe ? C'est quoi l'histoire ?", a demandé l'animateur, bouleversant le conducteur de l'émission pour laisser la parole à la jeune femme.
"Ca va être très clair. Là, je vois que vous voulez aborder un sujet dont vous n'avez pas les tenants et les aboutissants, ni explications, ni réelles informations. Un sujet relayé par certains médias qui sont assoiffés de buzz, de reconnaissance et de visibilité", a répondu Kenza Poupette. Et d'indiquer : "La vraie histoire, c'est que déjà j'ai un enfant. J'ai ma communauté. C'est elle qui sera en premier au courant. Tout ce qui a été cité dans le générique (le magnéto récapitulatif de 'TPMP', ndlr) a été mis hors de son contexte et a été déformé. Ce ne sont pas de faits réels".
Et d'éclater en sanglots en expliquant sa version des faits : "Je veux que tout le monde sache... que je suis une très bonne maman... Je ne suis pas une maman parfaite... Mais j'ai toujours tout fait pour mes enfants... Tout ce que j'ai fait a été pour eux... Je n'ai jamais fait de mal à mes enfants... Bientôt la vérité éclatera". "Je veux bien te croire", a répondu Cyril Hanouna, le téléphone à la main.
"Ils m'ont détruit... Je n'ai jamais rien fait de mal à mes enfants...La prunelle de mes yeux...", a-t-elle poursuivi, la voix marquée par les larmes. Et de poursuivre en pleurs : "C'est tellement injuste... C'est injuste... Là, je suis dans un combat judiciaire. Une fois que j'aurais terminé ce combat, je passerai au combat des réseaux sociaux. Moi, je veux juste qu'on ne me diffame pas. C'est juste ça Cyril. C'est pour ça que je t'ai appelé". puremedias.com vous propose de visionner la séquence.