Le fin mot de l'histoire d'une chronique chaotique. Alexandra Pizzagali a effectué, dans la douleur ce lundi, ses premiers pas dans "Télématin". Un "problème de prompteur" l'a d'abord empêchée de débuter sa chronique. Une fois ce dernier résolu, l'humoriste a ensuite eu le plus grand mal à remplir sa mission de divertissement en traitant du sujet périlleux de l'attentat du 14 juillet 2016 à Nice, dont le procès s'ouvre ce lundi. Pour couronner le tout, Alexandra Pizzagali a finalement été brusquement interrompue... par la publicité.
Invitée par puremedias.com à raconter les coulisses de cette séquence, Alexandra Pizzagali a préféré passer par son propre compte Instagram pour communiquer. "Bon allez, on a bien rigolé mais tout va bien", a-t-elle rassuré les téléspectateurs concernant son état. "Premier direct, problème de prompteur, prise au dépourvue, prostration", a-t-elle ensuite résumé, expliquant que cela avait "engendré du retard".
"Les publicités étant programmées à la minute près, elles ont été envoyées avant que j'aie pu finir ma chronique. Je l'ai donc fait juste après", a-t-elle expliqué. Au retour de la publicité, Julia Vignali a en effet convenu que Alexandra Pizzagali a "été brutalement coupée" et a proposé à l'humoriste de conclure sa chronique. "Zéro censure", a estimé la principale intéressée, avant de donner rendez-vous aux téléspectateurs de la matinale de France 2.
"Vivement la deuxième, et à moins qu'un projo me tombe sur la gueule la semaine prochaine, a priori ça ne pourra être que mieux". L'humoriste disposera de cette carte blanche chaque lundi, après "Les 4 vérités".