Invitée exceptionnelle de "C à vous" sur France 5 ce soir, Carla Bruni-Sarkozy est revenue sur l'attitude la presse à l'égard de son mari. "En vérité, ce n'est pas contre moi, c'est pour attaquer mon homme" a-t-elle jugé à propos des dernières révélations sur sa fondation de l'hebdomadaire Marianne, "un magazine à charge".
Elle avait traité certains journalistes de "Pinocchios" mardi soir dans les coulisses de l'émission "Des paroles et des actes" sur France 2, Carla Bruni-Sarkozy s'est justifiée en demandant aux convives du dîner s'ils connaissaient "des journalistes pour (son) mari ou même neutres". Etienne Mougeotte, patron du Figaro lui cite Emmanuel Maubert . "C'est le seul, et ils sont attaqués ! Le taux de critique a atteint un niveau incroyable de mauvaise foi et de mensonge" a dénoncé la première dame.
"Pour moi, c'est incroyable de lire, il y a cette fille qui s'appelle Carla Bruni, qui fait des choses que je ne fais pas, qui dit des choses que je ne dis pas, sans arrêt, c'est comme un espèce d'avatar, j'ai un clone" a expliqué la première dame à Alessandra Sublet. Elle a accusé les médias de lui inventer des propos qu'elle n'a pas tenus, "tout le temps, tous les jours". Mais concède qu'il ne s'agit pas forcément de "malveillance" mais "souvent d'inexactitude". Malgré les critiques dont elle se dit victime, la première dame de France a défendu la liberté de la presse. "C'est quand même mieux que de vivre dans une dictature" a-t-elle expliqué.