“C’est la dernière oui”, confirme-t-elle. Invitée sur le plateau de "Quelle époque !" ce samedi 21 décembre 2024, Audrey Fleurot s’est confiée à Léa Salamé sur la fin prochaine de "HPI", la série à succès de TF1. Alors que le tournage de la cinquième et dernière saison est en cours, la comédienne a partagé son émotion et son attachement à Morgane Alvaro, son personnage haut en couleurs.
"C’est un choix totalement raisonné, raisonnable, pas du tout affectif, parce que je pense que ça va être très très très dur pour moi", a-t-elle expliqué. "Je pense que je vais beaucoup pleurer et que je vais la regretter", a-t-elle confié.
Lancée en 2021, "HPI" a rapidement captivé des millions de téléspectateurs, atteignant des audiences record. Le moment idéal pour tourner la page selon elle. "Je pense que c’est super aussi de partir au top, ce n'est pas non plus une série qui a vocation à durer 10 ans. Et puis, j’ai d’autres envies", a-t-elle expliqué, alors que la comédienne est attendue dans "La Comtesse de Monte-Cristo", une série qu’elle produit pour TF1.
"Je trouve que ça va être compliqué de garder ces audiences", confie-t-elle. "Moi, avant, je n'avais pas de problème avec les audiences. J'étais dans des séries chorales, personne ne m'appelait le lendemain pour me dire 'On a fait tant, les pourcentages, la ménagère, tout ça je n'y connaissais rien'", se souvient-elle. "Maintenant, j'ai cette espèce de poids sur les épaules où j'ai l'impression que le jour où on fait 7 millions, c'est naze. Donc, je pense que c'est très bien de partir avant de lasser." Puremédias vous propose de découvrir son interview dans la vidéo ci-dessus.
"HPI" reviendra-t-elle ponctuellement de façon événementiel ? Audrey Fleurot ne ferme pas la porte. "Je pourrais continuer à la jouer très longtemps, je pense qu'il y a plein de choses que je n'ai pas eu l'occasion de faire, il y a plein de choses qui ont été coupées (...) "Je ne désespère pas parce qu'en plus, ce qui est formidable avec le succès, c'est la liberté que nous avons au sein de TF1 de pousser un petit peu plus les murs. Et je pense qu'on pourrait continuer à les pousser."