Drôle de surprise pour Thomas Thouroude. Hier, dans son émission "Y'a pas péno !" sur Europe 1, l'animateur recevait Bruno Guillon. Alors qu'il brosse habituellement le portrait de l'invité dans sa chronique "Interdit de stade", Julien Cazarre s'est cette fois attaqué à... Thomas Thouroude lui-même. L'occasion pour l'humoriste et chroniqueur sportif de revenir sur la carrière de ce dernier et de longuement ironiser sur son très récent départ de France 3, lié aux propos critiques qu'il a tenus contre sa direction dans le journal "L'Équipe".
Après avoir évoqué le passage de Thomas Thouroude au service des sports de Canal+, Julien Cazarre a ironisé sur les mauvaises audiences du "Before du Grand Journal", diffusé de 2013 à 2015. "Canal vous voit loin du sport ! Et vous atteignez des audiences record en vous classant juste devant la 37e rediff' de 'Nestor Burma' sur Chérie 25 !", a-t-il raillé, pointant une "émission qui ne fait pas l'unanimité, notamment chez les intellectuels de C8 et d'ailleurs". "Mais, vous vous en foutez car votre avenir, il n'est plus à Canal, il est... sur le service public !", a-t-il poursuivi.
"Enfin la liberté ! Le plaisir du travail bien fait et une volonté de révolutionner le talk-show", a-t-il lancé en référence au flop d'"AcTualiTy" en cours de saison dernière. "Mais Delphine Ernotte est passée par là...", a-t-il continué sur le son de "Bang Bang". "Ce n'est pas grave ! Thomas ne lâche rien, l'année d'après, il est le nouvel homme fort de 'Tout le sport' sur France 3", s'est-il ensuite enflammé. "Il renouvelle le genre, bouscule les vieilles habitudes, relance une case poussiéreuse...", a raillé Julien Cazarre avant d'être interrompu par la musique de la boule noire dans "Motus".
"Trahi par les siens, ses camarades de la gauche confort auront eu sa peau", s'est ensuite moqué le chroniqueur avant d'ajouter que Thomas Thouroude n'a "même pas eu le temps de faire sa fameuse blague sur Delphine Ernotte qui a deux yeux au beurre noir". "Quelque part, Thomas Thouroude à France Télévisions, c'est comme le PSG en Ligue des Champions. Chaque année, c'est plein d'espoir en septembre et ça dégage en mars !", a lancé Julien Cazarre avant de passer une playlist de chansons sur le prénom "Delphine". "On s'en tape de Delphine, ici tu ne crains rien, c'est une bonne émission, plutôt que de la "supprimère", on préfère Lagardère", a conclu le chroniqueur dans un jeu de mot. puremedias.com vous propose de revoir cette séquence.