"Touche pas à mon poste" a perdu un téléspectateur. Dans un entretien accordé au Buzz TV Orange-TV Magazine, Laurent Ournac confie ne plus regarder l'émission quotidienne de Cyril Hanouna sur D8, lui qui ne cache pas l'avoir pourtant beaucoup appréciée par le passé. Celui qui a participé à la quatrième édition de "Danse avec les stars" à l'automne dernier et occupe régulièrement les lundis soirs de TF1 avec la série à succès "Camping Paradis" (dont les inédits ont réuni en moyenne 6,1 millions de téléspectateurs en 2013) trouve que le programme ne se renouvelle plus.
"Aujourd'hui, je zappe. J'ai regardé longtemps et aujourd'hui je zappe parce que je trouve qu'on tourne en rond" explique ainsi Laurent Ournac. "On a toujours les mêmes gens qui disent toujours les mêmes choses puis finalement, à un moment, trop de chroniqueurs qui donnent leur avis fait que, finalement, on s'en fout un peu de leur avis" lâche l'ancien comédien de la première édition de la télé-réalité "Mon incroyable fiancé".
Pour Laurent Ournac, à force de faire réagir Enora Malagré, Isabelle Morini-Bosc ou encore Gilles Verdez sur certains sujets, "Touche pas à mon poste" se transforme en "réunions de comptoir entre copains qui se font rire entre eux". "Je trouve que ça n'apporte plus grand-chose au débat" regrette le comédien.
La sortie de Laurent Ournac sur "Touche pas à mon poste" intervient après la réponse de l'animatrice de M6 Sandrine Corman aux critiques faites par Enora Malagré à son encontre, sur le plateau de Cyril Hanouna. "Je n'ai jamais rencontré cette fille de ma vie. Je ne sais pas pourquoi elle m'a prise en grippe. A mon avis, elle doit être jalouse" s'amusait ainsi Sandrine Corman dans les colonnes de Ciné-Télé Revue. "Dans l'émission, Enora est très vipère, mais pas seulement avec moi. Ses critiques ne me touchent pas plus que ça" assruait l'animatrice, qui répondait également à Isabelle Morini-Bosc, qu'elle avait côtoyée dans "Pékin Express : Duos de choc". "Je me moque des critiques. En bien ou en mal : l'essentiel, c'est que l'on parle de nous !" jugeait-elle.