La vie d'après. Dans les colonnes du "Parisien" ce vendredi, Laurent Ruquier se confie sur sa rentrée de septembre sur France 2. La saison prochaine, l'animateur ne sera plus à la présentation de l'émission du samedi soir, "On est en direct". Cette case sera désormais incarnée par Léa Salamé. Toutefois, la voix des "Grosses têtes" poursuit l'animation des "Enfants de la télé" le dimanche sur la Deux et aura plusieurs projets de prime sur France 2.
"En octobre et novembre, je vais tester deux nouveautés en prime time. La première sera une émission de chansons sur l'actualité, où des chanteurs, imitateurs ou humoristes vont interpréter des titres liés à l'actualité, soit avec leur texte original, soit avec des parodies que j'écrirai", a annoncé Laurent Ruquier. Et de présenter sa deuxième future émission, déjà baptisée "Aujourd'hui comme hier" : "Ce sera l'actualité du moment vue par le prisme des images d'hier. Il y aura des invités sur le plateau et un grand débat comme j'avais envie de le faire le samedi soir".
Par ailleurs, le présentateur aux lunettes rondes est revenu sur sa condamnation à verser près d'un million d'euros à Catherine Barma. Cette dernière, productrice d'"On n'est pas couché", avait poursuivi Laurent Ruquier à la suite de la rupture brutale de leurs relations commerciales et à la quinzaine de licenciements économiques qui avaient suivi. L'animateur a expliqué qu'il n'avait pas "encore décidé" s'il comptait faire appel du jugement : "Nous avons un mois pour le faire". "Je n'ai pas fait de procès à Catherine Barma, c'est elle qui m'a attaqué. Je ne voudrais pas qu'on croie que je suis le méchant dans cette histoire", a-t-il tenu à souligner. Et d'ajouter : "Si elle avait souhaité continuer le samedi soir, elle en avait la possibilité. Et ce point n'a pas été retenu dans le jugement". "Les prochains animateurs avec qui elle souhaite travailler sont prévenus : faites bien attention à vos contrats", a-t-il lancé.