Gilles Verdez et Michel Cymès ne passeront pas leurs vacances ensemble ! Le lundi 9 février dernier, France 2 diffusait en prime-time un numéro d'"Aventures de médecine", mettant en scène la mort de l'animateur de France 5 et la recherche de la police scientifique pour découvrir l'auteur du crime. Le programme n'avait convaincu que 2,4 millions de téléspectateurs, soit 10,1% du public.
Le lendemain dans "Touche pas à mon poste" sur D8, Gilles Verdez avait fait part de son avis sur le programme de France 2. "C'était une mauvaise idée tout de suite ! Parce que la confusion des genres, le mélange des styles, ça ne marche pas. Moi, j'ai regardé, je suis peut-être bête mais je n'ai rien compris", avait jugé le chroniqueur. Il s'en était pris ensuite au présentateur du prime, Michel Cymès : "On a un cas où l'autosatisfaction de l'animateur prend un pas sur le plaisir du téléspectateur et franchement, ça c'est pas normal. Michel Cymès doit redescendre un peu sur terre. Y en a marre ! Ca s'appelle du melon. Il a pris la grosse tête."
Sur Twitter, le co-animateur du "Magazine de la santé" a répondu vindicativement à ces attaques : "Le meilleur critère pour savoir qu'une émission est réussie ? Quand Gilles Verdez de "TPMP" avoue n'avoir rien compris ! #ADM #Mononeurone". Ce à quoi le membre de la bande de Cyril Hanouna a rétorqué : "Cher Michel, vous pourriez (devriez) juste une fois, écouter un avis sans le mépriser à l'aune de votre suffisance. Possible ?"
Invité hier autour de la table d'Anne-Sophie Lapix dans "C à vous" sur France 5, Michel Cymès s'est expliqué sur les raisons de son tweet. "Les critiques sur une émission, c'est le jeu. On aime l'émission, on n'aime pas l'émission. On critique, on dit que ça n'a pas marché. Après les insultes, je suis comme tout être humain, je ne supporte pas et je me défends", a confié le médecin.
"Et ce monsieur, qui, pour la petite histoire, est un commentateur sportif dont personne ne voudrait pour commenter un match de division d'honneur, se permet non seulement de critiquer l'émission, il en a le droit, mais de m'insulter en me traitant de mégalo, d'égocentrique, de mec nul, etc. Je suis désolé, on m'insulte, je me défends", a-t-il poursuivi, avant de proposer à Gilles Verdez "que plutôt de commenter, il devrait aller faire du foot et il serait bien dans le milieu", faisant référence à l'affaire Serge Aurier, joueur du Paris-Saint-Germain, qui a insulté son coach. puremedias.com vous propose de visionner la réponse de Michel Cymès dans "C à vous" à partir de 5'30.