Elle est désormais l'un des visages de M6, après avoir été l'un de ceux de Canal+. Depuis la rentrée, Ophélie Meunier est désormais la présentatrice et rédactrice en chef de "Zone interdite", ainsi que joker de Xavier de Moulins au "19.45". A cette occasion, la journaliste a répondu aux questions de nos confrères de TéléObs et a notamment été interrogée sur sa saison à la tête du "Tube", une année au cours de laquelle l'actualité pourtant chargée de Canal+ n'a été que très peu évoquée.
Mais Ophélie Meunier l'assure, "cela ne (l')a jamais bloquée en quoi que ce soit". "Chaque semaine, la difficulté consistait plutôt à faire un choix dans l'abondance des sujets. Quel aurait été l'intérêt de partir en guerre contre les actionnaires de ma chaîne ? De parler des difficultés de Maïtena Biraben ? Qu'aurais-je apporté de plus ?", se justifie-t-elle, rappelant ne "pas (s'être) privée d'évoquer la fin de son émission" sur la chaîne cryptée lors de son entretien avec Antoine de Caunes, en début de saison.
Quant au cas particulier de la tumultueuse saison du "Grand Journal" de Maïtena Biraben, Ophélie Meunier se défend en affirmant avoir eu "beaucoup trop à faire avec (son) émission pour aller mettre (son) nez dans celle des autres", tout en "espérant que Maïtena (aille) bien, c'est une chouette fille". Et pour celle qui est désormais sur M6, le Canal+ de cette saison n'a rien à voir avec celui de la saison passée. "On ne peut plus comparer avec l'an dernier, ce sont deux époques totalement différentes. Avec ses parties cryptées et en clair, Canal est devenue une autre chaîne qui ne ressemble plus à celle que j'ai connue", confie-t-elle.
Par ailleurs, la jeune femme estime que les médias en ont trop fait sur la situation à Canal+. "C'est devenu un peu systématique. Il fallait remplir les émissions et le sujet Canal était tout trouvé. Il ne faut pas oublier que derrière un programme comme 'Le Grand Journal', il y a des gens qui travaillent comme des dingues tous les jours car une quotidienne, c'est ce qu'il y a de plus prenant à la télé", déclare Ophélie Meunier.