"L'Amour est dans le pré" 2014, épisode 9 : Chrystèle frustrée, Marc quitté, Gilles pas séduit

Qui va trouver l'âme soeur ? Ce soir, François, Nicolas, Chrystèle, Marc et Gilles ont continué la vie à la ferme avec leurs prétendants, sous l'objectif des caméras de "L'Amour est dans le pré" de M6. Comme chaque semaine, des coups de coeur se sont dessinés, des tensions ont éclaté et des prétendants sont repartis déçus.

Pour François, le petit déjeuner réunit l'élue de son coeur, Marie-Line, mais aussi son autre prétendante Marie-Paule, avant d'aller traire les vaches. "Le comble pour une vache, c'est d'être pelotée deux fois par jour et niquée qu'une fois par an", lance l'éleveur, très en forme, avant de procéder à un petit cours de traite.

La journée se poursuit avec un grand déjeuner de famille chez la soeur du fan de Johnny, où tout le monde est très accueillant avec les deux femmes. Marie-Paule est si émue qu'elle en verse quelques larmes. "Ca me fait de la peine de quitter votre région", avoue-t-elle, tandis que Marie-Line confie, pour sa part, qu'elle ne craint pas de venir s'installer en Franche-Comté. La famille est aux anges, et le déjeuner se termine sur des bisous par dizaine entre l'agriculteur et sa dulcinée !

Le lendemain, François emmène ses deux prétendantes faire un tour en tracteur. Mais Marie-Line n'est pas fascinée et coupe court à l'expérience, là où Marie-Paule, au contraire, l'interroge sans cesse. Mais peu importe : Marie-Line est sous le charme, François aussi. Et après un dernier dîner, Marie-Paule se prépare à faire ses adieux. "Si je reviens, ce sera pour votre mariage", plaisante-t-elle.

Nicolas, le céréalier de 36 ans, retrouve Maryline et Magalie pour le petit déjeuner. Mais l'ambiance est déjà électrique entre les deux femmes. Si Nicolas semble vouloir taquiner Magalie, il se rapproche d'elle lors du match de horse-ball auquel il invite les deux prétendantes, et au moment du déjeuner, Maryline met les pieds dans le plat : elle sent que Nicolas préfère Magalie. "C'est différent avec elle", reconnaît l'agriculteur, même s'il "rigole bien" avec Maryline. "Ca me décontracte", avoue la jeune femme, contente d'avoir vidé son sac.

Mais de son côté, Magalie veut confirmer auprès de Nicolas qu'il partage bien ses sentiments. Un petit bisou plus tard, l'agriculteur se confie : "Le petit coup de coeur se confirme", lance-t-il. "C'est mieux qu'un coup de fouet !", plaisante-t-il. Le lendemain matin, au petit déjeuner, Maryline se prépare à quitter l'aventure, et révèle à Nicolas qu'elle était "magalie-phobe". Et les adieux avec Magalie sont glaciaux : "Je ne te fais pas la bise parce que le coeur n'y est pas", balance Maryline. "C'est assez hard", révèle Magalie, alors que Nicolas emmène Maryline à la gare et lui fait ses adieux dans la bonne humeur.

La journée commence par une séance toilettage des chiens de Chrystèle. Yann se montre particulièrement motivé et volontaire, et Jérôme en profite pour se balader avec l'agricultrice ! Mais le prétendant décide de ne pas lui poser de questions personnelles... ! L'après-midi, Yann prend sa revanche et emmène l'éleveuse à faire une balade en voiture - dans la sienne, sa Porsche. Mais alors qu'il se montre aussi timide que Jérôme le matin, Chrystèle prend les devants et les deux fans de chiens discutent de leurs points communs.

Le lendemain, Chrystèle emmène les deux prétendants en balade et décide de vider son sac : elle trouve que les deux hommes n'ont pas franchement essayé de la séduire et parlent trop de chiens. "Il n'y a pas beaucoup d'action, c'est trop mou pour moi, j'ai envie qu'on me fasse la cour !", lance l'éleveuse. L'après-midi, Jérome tente donc de briser la glace lors d'une nouvelle balade. Mais Chrystèle en profite surtout pour lui dire qu'il manque une "petite étincelle". Sans plus attendre, le prétendant fait donc ses valises et repart pour le Nord. Yann espère donc qu'il pourra en profiter pour séduire l'agricultrice.

De son côté, Marc, le benjamin de l'aventure, a déjà fait son choix : Aude est déjà partie et le céréalier peut donc se consacrer à Audrey, et rien qu'à elle. Mais il s'interroge un peu sur ses sentiments pour lui et lui demande cash. Heureusement, Audrey le rassure : "Avec le temps, je deviens vraiment tactile mais au début, j'ai du mal". Pourtant, quelques heures plus tard, la jeune femme tient des propos surprenants et avoue qu'elle n'est pas sûre de pouvoir tout quitter pour s'installer avec lui. "J'ai des doutes que je n'avais pas hier", lâche-t-elle !

Malheureusement pour Marc, le reste de la journée confirme que quelque chose cloche et que l'affaire est pliée. "Je ne suis pas forcément bien pour toi", lui lance par exemple Audrey. "J'ai bien compris et je le prends très bien", la rassure Marc. "Je ne ressens pas le besoin d'être dans ses bras", confie la jeune femme quelques minutes plus tard, seule face caméra. Et le lendemain, Audrey fait donc ses adieux à l'agriculteur, tout ému.

Gilles, 52 ans, fait découvrir à ses prétendantes Carole et Michèle le mobil-home dans lequel il vit depuis sept ans. Quand il s'éclipse, Carole se confie sans langue de bois à sa rivale. "Il ne dansait plus avec moi ! J'ai pété un câble, je me suis imaginé qu'il avait fait son choix", avoue-t-elle ainsi à sa rivale. Et la jalousie de Carole refait surface l'après-midi, lors d'une balade à dos d'âne un peu chaotique. "Je suis en train de penser que t'as une préférence, ça ne devient plus du tout gentleman", confie Carole à l'issue de la journée à l'agriculteur.

Sur le trajet du retour, la prétendante craque et demande à s'isoler. Mais Gilles ne renonce pas et le soir venu, il essaie de lui remonter le moral. Il emmène Carole découvrir les alentours, en tête-à-tête, et se lance dans une discussion franche, qui apaise la prétendante.

Le lendemain matin, après un petit-déjeuner dans la bonne humeur, Gilles doit trancher. Et, surprise, il avoue qu'il doit choisir par passion et qu'il n'éprouve de passion ni pour l'une, ni pour l'autre ! "Nous sommes devenus, j'espère, de supers amis, mais le coeur n'a pas parlé", lance-t-il. Carole semble sereine, Michèle un peu moins...