C'est le moment où jamais pour un marathon Matt Damon . Ce samedi 14 septembre, trois films avec l'acteur américain font leurs adieux à Netflix. Le premier est un film culte, récemment adapté en série sur la même plateforme : "Le Talentueux Mr Ripley". Sorti en 1999 et réalisé par Anthony Minghella, ce thriller adapté d'un célèbre roman de Patricia Highsmith suit l'histoire de Tom Ripley, incarné par la superstar américaine. "Italie, fin des années cinquante. Le jeune Dickie Greenleaf mène la dolce vita grâce à la fortune de son père, en compagnie de Marge Sherwood", peut-on lire dans le synopsis.
"Plutôt irrité par son comportement irresponsable, Herbert Greenleaf, riche armateur, demande à Tom Ripley de ramener son fils en Amérique. Tom découvre un monde éblouissant, qu'il ne soupconnait pas, et ira jusqu'au meurtre pour conserver cette vie de rêve"... Dans le reste du casting : Jude Law , Gwyneth Paltrow et une certaine Cate Blanchett dans un rôle secondaire. Rien que ça.
Deuxième film avec Matt Damon à quitter la plateforme, "Downsizing", une comédie de science-fiction réalisée par Alexander Payne et sortie en 2017. L'acteur américain incarne Paul Norris Safranek, un homme endetté qui accepte avec sa femme Audrey de participer à une nouvelle expérience scienfitique : être rétréci à une taille d'environ 12cm pour amélirer considérablement son niveau de vie. Une promesse qui va s'avérer plus compliquée que prévue. "Même miniaturisé, Matt Damon est un immense comédien", avait écrit "20 minutes" au moment de sa sortie en salles.
Enfin, troisième et dernier film porté par l'interprète de Jason Bourne, "Le mans 66", qui date de 2019. Tiré d'une histoire vraie, ce est réalisé par James Mangold , un habitué de biopics et de blockbusters en tout genre qui a signé "Walk the line", "Indiana Jones et le Cadran de la destinée", ou encore "A Complete Unknown", film sur la jeunesse de Bob Dylan qui doit sortir cette année en salles. Cristian Bale et Matt Damon incarnent deux ingénieurs qui doivent construire une voiture Ford exceptionnelle afin d'espérer détrôner Ferrari lors de la course du Mans de 1966. "L'équilibre parfait entre enjeux économiques de ce récit, histoire humaine entre Shelby et Miles, et scènes de courses grisantes et spectaculaires qui vont à 300 à l'heure", assure "Le Parisien".