Les fans sont ravis. Depuis ce jeudi 12 septembre, les abonnés de Netflix peuvent enfin découvrir la deuxième partie de la saison 4 de l'une des séries les plus suivies sur la plateforme : "Emily in Paris". Cette fois, la jeune directrice marketing incarnée par Lily Collins traverse les Alpes et débarque à Rome, où elle va pouvoir goûter un peu à la "dolce vita", dans une capitale italienne de carte postale. Si son petit détour transalpin est censé être "temporaire", l'avenir de celle qui était surnommée "la plouc" reste encore incertain sur la plateforme.
Netflix n'a en effet pas encore annoncé de saison 5, et tout devrait dépendre des audiences. Lors de sa sortie, première partie de cette nouvelle salve d'épisodes s'était hissée directement à la première place du classement global des séries anglophones les plus vues sur la plateforme. Quatre semaines plus tard, elle se trouve toujours dans le Top 10, cumulant plus de 126 millions d'heures de visionnage.
À LIRE AUSSI : Surprise, Brigitte Macron va jouer dans la saison 4 d'"Emily in Paris" sur Netflix
Dans une série d'interviews accordées aux médias américains, en marge du lancement de la deuxième partie, le créateur de la série Darren Star a fait savoir qu'il "espérait" qu'une saison 5 puisse voir le jour. "Il y a certainement quelque chose à faire avec d'autres saisons. Pour moi, ça se termine sur un 'cliffhanger' (laissé en suspens, ndlr). Cela ne se termine pas sur une note finale", remarque-t-il auprès de "Deadline". S'il y a une saison 5, on devrait cependant la retrouver à nouveau dans la Ville éternelle, plutôt que la Ville Lumière. "Nous passerons du temps à Rome. Mais elle n'a pas changé son compte Instagram pour 'Emily in Rome'", assure-t-il du côté du "Hollywood Reporter".
"J'ai le sentiment que cela permet d'étendre l'univers de la série" a-t-il confié dans un autre entretien à "TV Line". "Alors même qu'Emily commençait à se sentir à l'aise à Paris, elle se retrouve jetée dans un nouveau pays où elle va devoir expérimenter de nouvelles différences culturelles", explique-t-il. "Il y a vraiment des différences culturelles à explorer entre les Français et les Italiens. C'est un nouveau monde". "Cela ne signifie pas que nous quittons Paris".